1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (20)


    Datte: 07/07/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory

    ... fixait des yeux, j’étais le premier homme qui attachait tant d’importance à ses pieds et une pointe de fierté se lisait dans son regard. Nonobstant de cet exercice inhabituel elle se délectait du plaisir procuré autant que de se savoir si âprement désirée par son neveu.
    
    Puis l’affaire prit une autre tournure, ma tante fortement échauffée par ma pratique me témoigna son désir de s’accoupler en haussant les sourcils en direction de mon sexe. Avide de la moiteur matinale de sa source, il ne se fit pas prier pour s’engager entre les cuisses de sa belle femelle, fascinée par la robustesse de ce membre s’apprêtant à s’imprégner de ses chaires. Sans baisser les paupières elle savoura la progression assurée de cet intrus prenant possession de sa propre intimité, avec en guise de consentement un long soupir preuve de la béatitude que je lui apportais.
    
    De cris aigus suivis de longs râles ravageurs Véronique se lâcha avec fureur, perdue dans un plaisir intense tant du fait d’être pénétrer que de lui lécher ses pieds à la sensualité diabolique.
    
    — Patrick…tu me rends folle…tu m’excites de partout… S’exclama-t-elle en gardant ses orteils en bouche.
    
    — T’es une super nana. En lui donnant de grands coups de reins pour l’entendre gémir.
    
    — Oh c’est bon…j’aime…je t’aime… En respirant âprement la bouche grande ouverte.
    
    — Je te sens de mieux en mieux. En la laissant mûrir sous l’administration de mouvements de bas en haut puis de gauche à droite, droite-gauche.
    
    — Hannn je ...
    ... n’en peux plus…hannn….n’arrête plus… Emportée par une danse intérieure sans fin.
    
    En début d’après-midi Jacques déposa les garçons. Il ne resta que quelques instants, le temps d’expliquer à Véronique qu’il ne pourrait pas les prendre plus souvent.
    
    Déjà en maillot ils m’attendaient pour faire les fous, le grand cousin se plia de bonne grâce et leur mère se joignit à nous. Nous avions trouvé une sorte de jeu inventé de toute pièce à l’aide d’une bouée. Après une bonne heure, Véro tout comme moi regagnâmes nos transats respectifs pour un bain de soleil mérité. Elle s’allongea en prenant soin de se démunir du haut, m’encourageant à lui badigeonner le corps de protection. Mon étalage de crème prit la tournure d’un véritable massage type californien, enveloppant le corps de ma précieuse partenaire par des effleurages fluides. Je savais que ma tante appréciait mes gestes et me le fit savoir en émettant de lents soupirs.
    
    — J’ai l’impression de t’appartenir Patrick, tu es doux, délicat…tu sais comment me détendre, tu connais mon corps par cœur. Murmura-t-elle.
    
    — T’es mon bijou ! C’est dommage, tu ne peux pas te retourner à cause des enfants. En passant ma main sur ses épaules graciles.
    
    — Mais je compte sur mon neveu pour terminer son massage ce soir et ce matin tu as été encore super, je tenais à te le dire…ouah c’est tellement agréable de sentir tes mains sur moi, tu m’apaises… Soupira-t-elle.
    
    Nous avions décidé de diner avec les garçons pour leur annoncer la nouvelle. ...
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