La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1630)
Datte: 03/12/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... n’avais rien vu... Je sais à l’évidence que tout est aux normes de sécurité et donc après une quinzaine de minutes, je retrouve le Majordome tenant le gros chien en laisse et qui me conduit devant le bureau de Monsieur Le Marquis après avoir lâcher le chien dans le grand parc… Mon cœur bat la chamade et c’est tout tremblant et doucement que je frappe à la porte du bureau.
- Entrer
J’ouvre la porte, et j’avoue que jamais de ma vie, je ne me suis senti aussi vulnérable.
- Bon… Bon… jour … Mons… Monsieur le Ma… Marquis, je … je viens vous … faire signer les do… documents de bonnes … confo … conformités, dis-je en balbutiant lamentablement mes mots avec les mains moites et terrorisé
Je n'ose pas Le regarder en face, je sens cette puissance et ce charisme qui se dégage de Sa personnalité, même sans le voir, mes yeux, ma tête regarde mes chaussures… Je pose, avec fébrilité, les documents, tout tremblant sur Son immense bureau massif d’origine, du Louis XV à n’en pas douter. Le Noble voit bien que je tremble comme une feuille, que je balbutie, que je transpire de peur… Et Il en sourit, je ne le vois pas mais je le devine ! Il sait déjà qu'Il me possèdera, Il en est convaincu…. Le Châtelain signe avec une griffe de toute beauté, digne des plus grands calligraphes, une signature stylée, ample et fluide de son stylo-plume en or. Puis, Il me rend les documents sans un mot. Je les saisis et le remercie toujours dans le même état tremblant, avalant ma salive et je me dirige ...
... vers la porte pour prendre congé quand Sa voix, Sa voix puissance, calme mais assurée, autoritaire.
- Tu sais ce que tu as à faire, le chien ! Tu quittes ce lieu à jamais en abandonnant ton unique chance d'assouvir tes pulsions qui te tiraillent tant et qui sont enfouis en toi mais qui ne demandent qu'à s'exprimer pour vivre ce que la Nature a fait de toi… ou (10 secondes de silence absolu) … ou tu descends, tu sais où, et tu t'abandonnes afin de devenir enfin ce pourquoi tu es né... (Un autre silence plus lourd celui-là et plus pesant, je n'ose bouger) .... C’est-à-dire un esclave … Mon esclave !... Maintenant dégage, adieu et tu n’entendras plus jamais parler de Moi… ou … à tout à l'heure… Réfléchis bien et fait le bon choix. Ce sera le seul auquel tu as droit…
Je ne réponds pas, j’en suis bien incapable, alors c’est avec mes jambes qui flageolent pire que jamais que je ferme doucement la porte, le regard toujours au sol, je sens mes joues rouges qui s’échauffent quand je déambule dans ce magnifique couloir à l’épaisse moquette. Ensuite au bout de quelques mètres, j’ose lever mon regard, ayant quitté le bureau et je regarde encore ces tableaux somptueux. Ma tête travaille à mille à l'heure. Je suis confronté à ce terrible choix. Une petite voix intérieure me dit : ‘‘Va-t’en, oublie ces deux jours, tu es un homme, tu n'as pas besoin de cela, tu ne dois pas te courber devant cet homme et quoi encore, qui est-il pour me parler comme cela’’… et une autre voix me dit ‘‘C'est ...