14 juillet suite
Datte: 01/12/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Omarrrr, Source: Hds
Une semaine s’est écoulée depuis le bal du 14 juillet. Je suis pleine de contradictions en pensant à cette soirée. J’ai honte de ma conduite, mais ne peux m’empêcher de penser à toutes ces queues qui m’ont prise. A tout ce foutre que j’ai bu.
Dans mon lit, quand je me remémore ce soir-là, je me branle sans arriver à me contrôler, moi qui n’avais jamais osé le faire.
Nous étions restées en relation, Isabelle et moi. Un lundi, mon jour de repos, elle m’invita à passer prendre l’apéritif. Elle savait que j’étais seule.
A l’heure dite je sonnais à sa porte. J’étais vêtue d’une jupe large et courte, avec un chemisier boutonné devant et pour unique dessous un string.
Isabelle vint m’ouvrir. Je lui tendis la joue, mais elle posa ses lèvres sur les miennes. Surprise, je ne dis cependant rien.
— As-tu une culotte ? me demanda-t-elle.
J’acquiesçais et elle m’ordonna de l’ôter. J’hésitais, mais elle me dit de ne pas jouer les prudes. J’étais jeune, elle était plus âgée que moi, je voulais lui prouver que je n’étais pas timide.
Je fis glisser ma culotte à mes pieds et la lui tendis. Elle déboutonna deux boutons de mon chemisier. Mes seins étaient à peine voilés.
Nous passâmes au salon. J’eus un mouvement de recul. L’époux d’Isabelle était là avec deux amis de son âge (la cinquantaine).
— Voyons, ne sois pas timide, dit-elle en me poussant.
— Messieurs, je vous présente Danielle, une toute jeune mariée, annonça-t-elle en jetant mon slip sur la table du ...
... salon.
J’étais là, nue sous ma jupe, les seins pratiquement à l’air. Les trois vieux me regardaient d’un air lubrique. Je voulais repartir, mais Isabelle insista. Je finis par m’asseoir sur un pouf qui, quel hasard, étais placé juste en face des trois hommes. Je m’enfonçais dans le pouf, serrant les cuisses pour cacher ma chatte, mais la position était inconfortable.
— Détend-toi ma chérie, ils ne vont pas te manger. A moins que tu en ai envie ?
Disant cela, elle s’agenouilla près de moi. Elle prit mon visage entre ses mains et posa ses lèvres sur les miennes. J’étais paralysée. Sa langue se fraya un chemin dans ma bouche. Je me laissai faire. Son baiser déclencha ma libido. Sa langue s’enroulait autour de la mienne et je lui rendais son baiser, penchée vers elle. Mes cuisses s’écartèrent, ma chatte s’offrant aux trois vicelard. Je sentais qu’elle s’ouvrait. Je mouillais et ils ne pouvaient pas l’ignorer. Isabelle avait ouvert complètement mon chemisier. Elle me caressait les seins, pinçant mes tétons, les tordants. Elle avait retenu que je ne résistais pas à cette caresse…
C’était fini. Je n’avais plus qu’une envie, malgré ma honte : me faire prendre et bourrer par ces trois bites, avaler leur foutre.
Elle m’abandonna :
— Messieurs elle est prête, à vous de jouer.
Une bouche se posa sur ma chatte, une langue écarta mes lèvres, une queue se présenta devant ma bouche.
Je me saisis de ce braquemart, léchant le gland, le suçant, puis je l’engloutis ...