1. Puis-je faire confiance à Isabelle ?


    Datte: 06/03/2018, Catégories: ff, fhh, fhhh, fbi, boitenuit, danser, intermast, Oral 69, préservati, pénétratio, totalsexe, Auteur: Izoumi, Source: Revebebe

    ... côté lesbienne. Que puis-je faire contre ta nature dépravée. Donc le meilleur moyen pour que tu me dises la vérité, c’est de l’accepter et de faire comme toi. Nous sommes maintenant un couple ouvert et libre à la sexualité partagée. Je pense que je vais m’y faire. Jeannine se fut merveilleux de baiser avec toi. Est-ce que c’était meilleur ? Je dirais que c’était différent et que je recommencerais à te baiser demain matin sans problème. Je viens de prendre goût au libertinage.
    
    Ils sont partis et nous sommes allés au lit où nous avons fait l’amour encore une fois avant de nous endormir avec ma queue collée à ses fesses.
    
    Le lendemain au petit déjeuner nous avons établi les règles du libertinage entre nous. Tout se dire lorsqu’on baise sans avoir prévenu l’autre. Utiliser un condom avec des personnes dont on n’est pas certain de leur statut santé, et autres conditions.
    
    Isabelle m’embrassa sur les lèvres en me disant que c’était le plus beau cadeau que je venais de lui faire. Elle était libre de baiser sans avoir peur de se faire prendre.
    
    Les mois passèrent sans problème. Robert nous recevait et cela finissait toujours par une partie de jambes en l’air. Lorsqu’il venait chez nous, c’était la même chose, et Mamadou participait souvent à nos ébats sexuels. Imaginez une bite de vingt-cinq cm dans le vagin d’une femme, cela enflamme le cerveau vers la jouissance à répétition.
    
    De mon côté, j’ai informé Isabelle que je baisais souvent Fatima pour rattraper le temps ...
    ... perdu dont elle avait profité avant mon adhésion au libertinage. Il est même arrivé qu’Isabelle se mêle à nos ébats à Fatima et moi. Elle acceptait le partage entre elle et Fatima pour autant que ce n’était que de la baise avec Fatima.
    
    Cela faisait plus de deux ans que les travaux allaient bon train. Puis un jour Robert m’informa de la venue de Serge, le grand patron, ainsi que sa femme Ingrid et qu’ils passeraient moins d’une semaine avec nous afin de vérifier où en était les travaux, mais surtout pour préparer le futur contrat pour la construction de deux nouveaux ponts près de la capitale.
    
    Robert alla les chercher à l’aéroport et les conduisit à l’hôtel. Il m’informa que vendredi soir nous étions invités, dans sa suite, à prendre l’apéro, vers les 18 h et qu’après le repas et le digestif, Ingrid avait exprimé le désir d’aller en boîte.
    
    Ce fut un bon repas et après le digestif, nous nous sommes dirigés vers une boîte où nous avions l’habitude d’aller certains soirs. Serge commanda quelques bouteilles de champagne puis discuta avec Robert du futur contrat qu’il espérait remporter contre une firme allemande. Le contact se nommait Ibrahima. Jeune ingénieur responsable des décisions à prendre pour recommander au ministre laquelle des sociétés en lice serait la meilleure et la moins chère pour réaliser le contrat. Après une heure de discussion, Serge nous dit :
    
    — Maintenant, c’est la fête !
    
    Nous nous sommes dirigés sur la piste de danse et nous avons dansé sur de la ...
«12...151617...25»