La Kahina maso
Datte: 29/11/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: EK43, Source: Hds
... en plastiques, avec un ressort très puissant l’ont été. Punition pour sa provocation. Une bonne demi-heure. J’ai même failli les oublier.
Après avoir vérifier une nouvelle fois ses chaînes et son installation. J’éteins la lumière dans sa « cellule ».
Moi, sur mon lit, je n’arrive pas à dormir. Je pense à ma Chienne, grande, aux cheveux noirs, à la peau légèrement halée, aux tétons cuivrés avec des gros à bouts à croquer, des seins juste comme il faut, maigre, une belle femme, aux belles fesses. A vrai dire, son physique, je m’en tape. J’aime les femmes qui assument leurs envies celles qu’on appelle des salopes. Je sais certaines lectrices vont me trouver vulgaire, car elles ne voient pas tout l’amour et le respect que j’ai envers ces femmes là ! De l’opinion de ces personnes, je n’en ai rien à foutre.
Vers dix heures, on s’est réveillé, moi dans mon lit, elle dans sa cellule.
Je me suis fait un petit déjeuner, avec de belles tartines de marmelade d’orange. J’ai rempli son bol de lait chaud, j’ai préparé quelques bonnes tartines pour elle. A côté de son matelas je lui ai déposé tout cela. Et toute seule, agenouillée sur son matelas, elle a mangé.
J’ai déménagé son matelas dans ma chambre.
Et puis je l’ai douchée, lavée, avec soin, en profitant pour la caresser. Elle avait la peau douce et soyeuse.
Moi aussi je me suis douché.
Et puis dans ma chambre on a joué.
D’abord cravache et fouet. Chose promise chose due !
Et j’ai commencé à jouer avec sa ...
... chatte.
Introduction, de tubes, de plus en plus gros, branlette, et puis les bougies, une , deux , trois, quatre, cinq et même six, dans la chatte, histoire de bien la distendre, de bien la faire jouir. Bien sur on a aussi baisé.
Elle a terminé blottie dans mes bras, s’endormant.
C’est là que je me suis rendu compte que quelque chose n’allait pas. Elle avait le front, je devrais dire la truffe, très chaud, les yeux brillants, elle semblait grelotter, alors qu’il faisait bon dans la pièce. Déjà dans la nuit elle avait eu froid, malgré une couverture et un sac de couchage. La fatigue, le fait, qu’elle n’avait presque pas mangé les jours précédents, l’absence de vacances, cette année, bref elle était malade.
Je l’ai laissée dormir, puis, peu avant midi, je l’ai réveillée, je l’ai cravachée et fouettée à nouveau, elle a mangé une petite tranche de veau, des légumes, bu un peu de champagne. Je l’ai câlinée, sodomisée et elle s’est rendormie.
Moi je l’ai regardé dormir, c’était beau et j’étais heureux. Je m’en foutais de ne pas la torturer comme prévu, c’était pas important. Moi, j’étais là, je m’occupais d’elle, et j’étais heureux.
Dans la soirée, on a remangé, on a parlé, de tout, y compris de sa vie, de ma vie, de ses mômes, de politique. Je l’ai refouettée, recravachée, recaressée, et elle s’est rendormie, dans mes bras.
Le dimanche, s’est passé de la même façon, repas, cravache et fouet, sodo et dodo.
Il a fallu partir. Reprendre le chemin de la vie ...