1. Chacun chez soi...


    Datte: 28/11/2023, Catégories: fh, fhh, couple, extraoffre, inconnu, voiture, jalousie, reconcil, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, échange, libercoup, Auteur: Celle Hymen, Source: Revebebe

    ... qui ne peut se retenir davantage et conclut vigoureusement son assaut en inondant mon vagin.
    
    David :
    
    Le lendemain, vers midi, quand, comme convenu, Barbara et moi sonnons à la porte, la porte nous est ouverte par une Flora nue, les seins ballants, haletante et le visage rouge, qui referme vite la porte. Quelque peu surpris de sa tenue, je la prends dans mes bras et l’embrasse tendrement pour lui rappeler que je suis son mari, et je ne peux m’empêcher, par la porte ouverte de notre chambre(notre chambre… elle aurait pu éviter de la profaner !), de voir Ali, allongé sur le dos, le sexe dressé, qu’elle devait être en train de chevaucher.Les salauds… ils étaient encore en train de baiser… Sachant qu’on arrivait, Ils auraient pu terminer plus tôt. Mais, excité par ce que je vois et devine, j’avance une main vers son entrejambe et y rencontre le plaisir qu’Ali y a déversé pendant la nuit… Écœuré, je tente de caresser ses seins, aux tétins encore rougis par les suçons et les caresses de son amant, mais elle s’écarte de moi et me dit, impudiquement :
    
    — Pardonne-moi, chéri, mais nous n’avons pas encore fini le petit déjeuner… Attendez-nous donc dans le salon, avec tout ce que j’ai déjà reçu, nous n’en avons plus pour longtemps…
    
    Je l’ai un peu mauvaise de cette situation et commence à m’énerver… Mais l’érotisme sourd de la situation, ainsi que l’expression du visage de Flora, et ce qu’elle suggère, commence à m’exciter doucement. Fermement, je saisis l’épaule de ma femme et ...
    ... commence à lui peloter les seins, puis, sous les yeux de ma maîtresse, j’entraîne ma femme dans la chambre, l’allonge sur le lit, à côté de son amant, et la caresse sans aucune considération pour la frustration affichée par le regard de celui-ci.Après avoir baisé ta femme toute la nuit, maintenant je caresse la mienne, et tu dois te contenter de regarder… Ça me plaît bien !
    
    J’embrasse sauvagement Flora ; ma main délaisse son sein pour se glisser vers son ventre, y chercher le clitoris, le trouver et le titiller, soutirant à ma femme un cri de plaisir. Mais Flora interrompt mes caresses, écarte les cuisses et me crie :
    
    — Viens, termine ce qu’il a commencé !
    
    À côté de nous, Ali ne perd pas une miette du spectacle que nous lui servons.
    
    Flora :
    
    Mon mari me baise devant sa maîtresse et mon amant ! J’aime que sa queue soit si dure, pour moi, rien que pour moi, et je recommence à haleter, à ahaner au rythme de ses mouvements en moi. Emportée par le plaisir, je commence à perdre pied, ma respiration se fait plus rapide, plus sonore, j’ouvre la bouche pour chercher de l’air, pour crier…
    
    David :
    
    Bien enfoncé dans le ventre de ma femme, je suis un tempo de fou afin de jouir le plus vite possible, soucieux que son amant la voie jouir avec moi aussi…
    
    Mais… Mais… Stupéfait, je vois qu’Ali se redresse, approche son sexe raide du visage de Flora, puis pointe son gland vers sa bouche ouverte par le cri que je viens de lui arracher, et l’y enfonce. Ébahi, je vois Flora ...