Le beau Noël du grand ado
Datte: 28/11/2023,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
Oral
pénétratio,
init,
initiatiq,
fetes,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... occasion ! Quant à mon mari, il n’est jamais blasé de ma petite personne, ce qui me convient parfaitement, car ça démontre que, malgré les années et mes légères infidélités, il est toujours aussi amoureux de moi.
Quoique, lui aussi, il lui arrive d’aller voir un peu ailleurs, nous nous sommes mis d’accord sur le sujet.
En tout cas, tous les hommes présents se proposent d’être mon cavalier. De ce fait, pour ne léser personne, j’en change à chaque chanson, comme ça, tout le monde aura sa part. Parfois, certains restent galants, du moins au début, ensuite, ils se pressent souvent sur mes seins qui ne sont pas étriqués, je l’avoue. Certaines mains s’égarent parfois plus bas que mon dos. Enfin, on me fait parfois sentir plus bas que je les excite.
Il vaut mieux faire envie que pitié…
J’ai même eu droit à une proposition que je pourrais qualifier d’indécente si j’étais une femme bien comme il faut. Ça m’a amusé. Je fais remarquer à mon cavalier un peu leste que sa femme est en train de nous observer scrupuleusement. Il soupire :
— Ma femme est jalouse, très jalouse… c’est pénible… Toi, tu ne l’es pas, et ton mari est permissif…
— Qui t’a dit tout ça ? Sophie ?
— Qui d’autre ?
— Dois-je comprendre que tu as folâtré avec ma grande copine ?
Il me colle un peu plus :
— Juste un peu… Ma femme ne me donne pas beaucoup d’opportunités…
— Et tu crois que tu en aurais plus avec moi qui habite un peu plus loin ?
— Bah, y toujours moyen de s’arranger…
Je range la ...
... proposition dans un coin de ma tête. Cet homme est plutôt mignon et il le sait. Sophie m’a déjà confié à mi-mots qu’il était aussi très cavaleur, je veux bien la croire. Dans l’absolu, je serais tentée, mais je n’ai pas trop envie d’être un simple numéro sur une longue liste. Si je n’oublie pas, je demanderai à ma copine ce qu’il vaut vraiment, et si ça vaut la peine d’écarter les cuisses pour ce quidam…
Oui, je sais, ça manque de glamour, mais il convient de savoir faire la part des choses.
Quant à Jean-Philippe, il suit le cursus : au départ galant (voire timide), puis amateur de mes seins, et enfin, par inadvertance, je suppose, j’ai bien senti son envie. Parfois aussi, il tremblait un peu. Un désir mal contenu ? Il est vrai que ses hormones doivent le travailler de temps à autre !
Puis nous revenons au repas, tout se passe bien. Je suis satisfaite de faire toujours autant d’effet à la gent masculine, malgré les années qui passent.
Un peu plus tard, lors du second trou normand, tandis que nous sommes dans la cuisine en train de papoter tout en préparant la suite, Sophie apostrophe son fils qui revient de la salle à manger avec des plats vides :
— Jean-Phi, va faire voir à Monique le beau dessin que tu as affiché dernièrement au-dessus de ton lit !
— Meuh non, m’man, c’est pas la peine !
— Mon fils fait de belles choses et il ne faudrait pas les montrer ? Allez, exécution ! Ouste !
C’est ainsi que Jean-Philippe et moi montons à l’étage.
En effet, je ...