1. Jusqu’où ?


    Datte: 24/11/2023, Catégories: fh, ff, ffh, danser, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, Masturbation Oral fgode, pénétratio, fsodo, fouetfesse, historique, historiqu, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... d’autres musiciens au château. Jouer seul n’est pas l’idéal. Cela manquera un peu d’ampleur. Et il est trop tard pour en aller quérir. Il en est à se résigner à le faire, quand il songe à Pierre, un domestique. Deux ou trois fois, il l’a entendu jouer de la flûte de manière tout à fait honorable. Dans la même veine, il pense alors à Ann, la troisième Glaisane, qui joue fort joliment du clavecin.
    
    Il se met à la recherche de ces personnes, afin d’avoir le temps d’un minimum de répétition ensemble. En oyant le projet, Pierre propose que sa femme marque le rythme au tambourin, ainsi qu’ils sont accoutumés à le faire, lors des fêtes que s’organise la domesticité ou dans des villages voisins.
    
    Monsieur Menuisier est enchanté de cet orchestre improvisé. Pierre sait lire la musique et se débrouille bien mieux qu’il ne l’avait escompté. Sa femme a un réel sens du rythme et sait user de son tambourin, sans en abuser, quant à Ann, elle répond sans problèmes, à ses espérances.
    
    Le souper commence, tandis qu’Elizabeth et Victoria se préparent. Elles s’habillent de vêtements qu’elles ont choisis avec soin et fait modifier par les couturières, afin de pouvoir les quitter très aisément. Les boutonnières, par exemple, ont été remplacées par des rubans faciles à dénouer et les dessous aménagés pour pouvoir être retirés sans se contorsionner.
    
    Vient l’heure de leur prestation. Les gens du Prince se retirent. La musique résonne. Elizabeth et Victoria commencent leur service. Icelui ...
    ... se fait en dansant. Même le Dauphin est surpris, car il n’était point au courant des améliorations apportées à son idée. Il apprécie leur initiative, car elles sont bonnes danseuses. Certes, la danse fait partie de l’éducation d’une demoiselle de bonne famille, mais toutes n’y montrent pas la grâce des deux Glaisanes, qui accommodent brillamment l’exercice avec la contrainte de porter et servir les plats. Son hôte à l’air ravi. Le service touche à sa fin, Elizabeth demande :
    
    — Monseigneur, nous autorise-t-il à ôter le superflu ?
    — Je vous prie, faites…
    
    Les deux jeunes femmes commencent, alors, une danse où chacune dénoue alternativement, les rubans de sa partenaire, faisant d’abord tomber corsage, jupe, suivit des différents vêtements, jusqu’à se retrouver en culotte. Deux derniers rubans, un coup de poignet et chacune ôte à son amie ce dernier rempart à leur pudeur. Si tant est qu’elles en aient encore.
    
    Tandis qu’elles saluent, les soupeurs applaudissent. Particulièrement le comte qui multiplie les bravi. Tant d’enthousiasme monte un peu à la tête d’Elizabeth ; que l’exercice à quelque peu échauffée et, oubliant la présence des musiciens, certes dans une autre pièce, mais voyant dans la salle. À moins qu’elle ne s’en moque. Au demeurant, la maisonnée entière sait qu’elles sont les maîtresses du Dauphin. Si des musiciens n’en sont pas, elles sont masquées, après tout. De plus, nul ne s’aviserait à trop bavarder, le maître de céans, n’aimant pas que l’on répande ...
«12...567...17»