1. Jusqu’où ?


    Datte: 24/11/2023, Catégories: fh, ff, ffh, danser, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, Masturbation Oral fgode, pénétratio, fsodo, fouetfesse, historique, historiqu, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... ceci ?
    
    C’est Victoria qui s’en charge :
    
    — Nous avons commis un impair pouvant compromettre la réputation de Monseigneur en nous occupant de trop près de son invité. Aussi nous a-t-il demandé ce que faisait la directrice en pareil cas de manquement. Nous lui avons répondu qu’elle punissait les coupables.
    
    Ann ne peut s’empêcher de s’étonner :
    
    — Seulement maintenant !
    
    C’est Louis qui répond :
    
    — Pour les remercier de leur ballet, je leur ai accordé la dispense de travaux ménagers un mois durant. Il est apparu logique à tous que la punition dure le même temps à raison d’une fois par semaine. Sauf erreur, c’est la troisième fois ce jour. Il en restera donc une. Est-ce bien cela ?
    
    D’une même voix, elles répondent :
    
    — Tout à fait Monseigneur.
    — Je vous en prie poursuivez.
    
    Les rôles changent et le châtiment se poursuit jusqu’à la vingtième claque sur le postérieur d’Elizabeth.
    
    — C’est bien, Mesdemoiselles. Vous pouvez vous retirer. Je vous souhaite la bonne nuit.
    — Bonne nuit Monseigneur.
    
    Elles se rhabillent et retournent dans leur chambre, assez dépitées qu’Ann ait assisté à leurs déboires culesques. Mais elles finissent là aussi par relativiser. Après tout, n’ont-elles pas vu Ann recevoir pareille médecine à la pension, et réciproquement aussi d’ailleurs ?
    
    Après leur départ, Ann ne peut s’empêcher de s’enquérir de pourquoi l’une a reçu quinze coups et l’autre vingt. Explication lui est donnée, et le prince d’ajouter après un temps :
    
    — Ce ...
    ... qui me surprend encore c’est que vos compagnes pour éviter à leur postérieur ces désagréments n’aient pas choisi de renoncer à leur dispense puisque la punition était liée à icelle.
    — Elles ne m’ont point fait de confidences, mais vu leur répulsion aux tâches qui leur sont confiées et qu’elles jugent indignes d’elles, peut-être jugent-elles moins indigne de se faire fesser.
    — Il se peut. De toute manière, c’est leur choix.
    
    Voyant Ann se retenir de rire, il demande :
    
    — Qu’est-ce qui vous amuse ?
    — Je viens de comprendre le pourquoi de leur comportement curieux, surtout certains jours où, par exemple, elles ne cessaient de gigoter pendant les leçons. La position assise ne devait être la plus adéquate vu l’état de leur fessier.
    — J’imagine. Assez parlé de ces demoiselles. Avez-vous lu le livre que je vous ai apporté ?
    
    Là-dessus, la conversation s’engage pour durer assez avant dans la soirée. En allant se coucher si certaines choses ont trouvé explications, Ann est toujours autant ébaubie par la conduite des deux filles qui se font baiser et enculer régulièrement, sans parler du spectacle de danse licencieuse présenté à l’invité du Prince et surtout par la manière dont elles s’étaient occupées de lui à la suite, et ce de leur initiative, malheureuse d’ailleurs.
    
    Une décade après la dernière fessée, après laquelle le Dauphin s’est absenté, Victoria est de service. Quand le Prince a fini son souper, elle fait révérence et, sur le ton de la conversation :
    
    — Je n’ai ...
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