Nu à l'hôpital (05)
Datte: 23/11/2023,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bySJeje, Source: Literotica
Je suis mon bourreau mais n'en suit pas moins humilié. Certes, je ne suis plus nu. Mais la tenue est humiliante. Le pantalon glisse et j'ai beau lutté détendre mes muscles. La tenue n'est pas confortable et risque de tomber à tout moment. Tâché de mes secrétions, mon pantalon découvre partiellement mon sexe et mes fesses. Je suis baladé dans l'étage jusqu'à l'ascenseur. Heureusement, il fait nuit et nous ne croisons que peu de monde.
Arrivé à l'ascenseur, je la vois appuyé sur le 2. Je me rends alors compte que tu ne sommes pas encore prêts de quitter cet hôpital. Elle m'emmène dans un autre service, pour saluer des collègues. Je la suis, n'osant réajuster ma tenue de peur de subir ses foudres. J'arrive dans le bureau des infirmières et elle leur dit aurevoir. Elle ajoute : "Je vais raccompagner ce jeune pervers qui s'est baladé nu, toute la journée". Pouffant, l'une d'entre elle, regarde la base de mon sexe visible, et me dit "Vous risquez de recommencer. Votre pantalon est sur le point de tomber". N'osant réagir à l'interdiction de mon bourreau, je reste statique. L'infirmière s'approche donc de moi, et devant les regards de ses collègues tentent de réajuster mon pantalon. Elle s'exclame alors : "le pantalon est vraiment trop large, tout en l'agitant de bas en haut".
Ce simple frottement me provoque instantanément une nouvelle érection fulgurante. Plus de doute, j'ai dû être drogué. Mon sexe réagit trop rapidement, même après avoir joui. Elle a dû me faire prendre à ...
... mon insu, du viagra ou je ne sais quoi.
Mon érection est si forte qu'elle dresse mon pantalon telle une tente, mon gland retenant l'élastique. L'érection pulsant, mon pénis jaillit du pantalon, le faisant tomber par la même occasion. Craignant les représailles et soumis à mon bourreau, je n'ose bougé. Je me retrouve le pantalon sur le chevilles, exposées à toutes. Elles me scrutent, ne comprenant pas pourquoi je reste statique. Après un temps, mon infirmière cruelle me dit "Enfin! Jeune pervers. Rhabillez-vous".
Enfin autorisé, je remonte mon pantalon et le maintien. Le relief de mon érection ne laisse aucun doute sur mon état. Nous retournons vers l'ascenseur sous les ricanements moqueurs des infirmières, direction le -1. Nous arpentons des couloirs de services et arrivons devant une porte coupe-feu. A côté de cette porte, se trouve un chariot à linge. Mon bourreau me l'indique, en me disant "Laissez-y vos vêtements". Je rétorque : "Mais, mes affaires?". Elle tapote alors sur son sac à mains et me réponds "Vos effets personnels sont ici. Quant à vos vêtements, vous n'en avez pas besoin". Je lui réponds, ce qui semble l'agacé : "Mais... je vais pas rentrer chez moi nu... mes voisins...". Elle conclut en disant "De toute manière, vous ne rentrerez pas, ce soir...". Elle interrompt alors la conversation, en ôtant mon haut violemment et le jetant dans le chariot. Elle prend, ce faisant, son ton autoritaire : "le pantalon!".
Je m'exécute, non sans crainte. Je me retrouve ...