1. Le rose et le noir. Ludivine


    Datte: 06/07/2019, Catégories: fh, ffh, fbi, hotel, amour, volupté, Oral 69, ecriv_c, Auteur: Laure et JP, Source: Revebebe

    ... dors ? » répète l’apparition.
    
    — Non… soufflé-je, qu’est-ce que tu fous ici ?
    — Ah ! Tu es réveillé… chuchote-t-elle. Moi aussi… Ludi dort comme un bébé. Je venais chercher quelque chose… un câlin.
    — Hein ? Ici ?
    
    Elle soupire, et je sens une main me saisir, délicatement, au plus intime, en totalité.
    
    — Oui… ici. Bouge pas… pas de bruit !
    
    Je vois sa tête plonger, un rideau de cheveux s’interposer… et je sens sa bouche me gober, encore tout petit, endormi… pendant que sa main, à pleine paume, me masse doucement.
    
    — Laure ! gémis-je, mais…
    
    Un mouvement de sa tête m’indique de me taire… et ses lèvres, sa langue, entreprennent d’alerter ma virilité. Sa bouche s’arrondit, un grognement me dit qu’elle est satisfaite du résultat… De la salive coule, un léger bruit de succion, un hoquet quand elle m’engage à fond.
    
    Je me tords un peu, faisant grincer le sommier… son autre main m’invite à rester calme. Sa bouche est chaude, sa caresse est lente, appliquée… Sentant que je vais exploser, je lui passe la main dans les cheveux et geins « Laure… ah ! ». Elle accélère un peu, me mordillant, m’aspirant puis, percevant l’approche d’un premier spasme, ses lèvres me pincent, sa langue s’enroule… et je me libère, les reins cambrés. Elle ne m’a pas lâché et accompagne, bouche hermétiquement fermée, les deux ou trois jets qui suivent.
    
    Sans bouger, elle attend que je débande en me caressant les cuisses du bout des doigts. Je repousse ses cheveux, et je la vois, paupières ...
    ... closes, goûter ma semence, creuser ses joues, puis déglutir.
    
    Enfin, redevenu au repos, elle me laisse et, lèvres fermées, achève de me boire avec un claquement de langue. « La totale… elle m’a fait la totale… » pensé-je émerveillé, « la première fois comme ça… en silence »
    
    Sa tête se tourne vers moi, avec un coup de langue s’essuyant la commissure des lèvres, puis elle me sourit, tendrement. « Voilà… je n’ai rien laissé. Un must ! »
    
    Je l’attire et elle ronronne contre moi, palpitante, frémissante, ma main constatant en la parcourant qu’elle est trempée. Mais elle me repousse : « Laisse, dors maintenant… »
    
    Comme elle se relève, je remarque alors qu’une autre silhouette blanche se tient appuyée sur l’encadrement de la porte de la chambre. « Ludivine ! » pensé-je, « elle a tout vu ! », mais prestement elle disparaît…
    
    Un baiser chaste de Laure sur mes lèvres, avec un « Bonne nuit amour… » et elle rejoint son lit en marchant vite et en souplesse, le temps d’apercevoir ses fesses, laiteuses et rebondies sautiller.
    
    Je soupire, comblé. Quelle femme ! Quel amour elle me donne ! Mon cœur est gonflé de bonheur. Quelle chance j’ai !
    
    À présent j’essaie de retrouver le sommeil… mais des gémissements étouffés me parviennent de la chambre. À nouveau un frôlement, une silhouette blanche, celle de tout à l’heure, la lumière qui accroche un petit sein… Ludivine ! Ludivine qui s’efface derrière la porte qu’elle ferme doucement…
    
    « Les vaches ! pensé-je, Laure a dû être surprise ...
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