1. Le rose et le noir. Ludivine


    Datte: 06/07/2019, Catégories: fh, ffh, fbi, hotel, amour, volupté, Oral 69, ecriv_c, Auteur: Laure et JP, Source: Revebebe

    ... l’heure, elle a joué l’amie avant l’amante…
    
    Maintenant attablées et m’observant amusées leur apporter les plats, les deux filles continuent de papoter comme des commères qui se connaissent depuis toujours. Assises côte à côte, elles me font face et j’ai tout loisir de les admirer dans leur kimono soyeux. Deux têtes blondes avec leurs cheveux tombant sur les épaules. On dirait deux sœurs.
    
    Une question me vient, histoire de les provoquer un peu…
    
    — Eh ! Les filles ! Vous êtes bien mignonnes comme ça ! Et dessous… nues ?
    
    Deux paires d’yeux me dévisagent comme si j’étais un martien.
    
    — Non… mais dis donc ! Tu es bien curieux ! me lance Laure, pendant que Ludivine rigole.
    — Ben… fais-je narquois, à vous voir… bon alors, dessous, nues ou pas ?
    
    Laure se penche vers Ludivine et lui murmure en riant quelque chose à l’oreille. Celle-ci sourit et me regarde. Elles se lèvent, mystérieuses et Laure s’écrit : « Un… deux… et trois ! »
    
    Chacune alors, d’un geste bref, tire sur la ceinture de son kimono… qui s’ouvrent béants.
    
    Oh là ! Paradisiaque ! Elles m’apparaissent seins nus et en petite culotte. Une grande et une plus petite, magnifiques… l’espace d’un instant, car Ludivine se colle ventre à Laure, qui s’écrit en riant « La-la-lère ! » en levant un bras… comme dans une revue du Crazy Horse !
    
    Puis fin ! Avec un même mouvement les kimonos se referment, et elles se rassoient hilares. Je dois faire une tête… ayant encore dans les yeux leur poitrine, leurs cuisses, ...
    ... leur culotte.
    
    Nous sommes encore à rire et parler que le portable de Ludivine sonne.
    
    À l’écart dans un coin du salon elle répond. De toute évidence c’est son copain… « Oui je vais bien… », dit-elle agacée, « Non Kevin ! Non, je ne rentrerai pas ! », puis « Non, n’insiste pas… c’est fini, tu me fais peur… », et enfin « Pour mes affaires, pour ce qui reste, je les prendrai plus tard, je viendrai avec des amis les chercher… oui demain, dans la journée. Autant que tu ne sois pas là. Allez, salut ! »
    
    Elle reste prostrée, les larmes aux yeux : « C’est dur quand même… » souffle-t-elle, « il était prêt à me pardonner, que tout ça est arrivé de sa faute. Mais non, c’est fini… »
    
    Laure la rejoint, maternelle, et la prend dans ses bras, pendant que d’un geste elle me fait signe de m’éclipser… Décidément bien gentille ma chérie ! Je ne la connaissais pas sous cet angle… et c’est tout à son honneur.
    
    o-o
    
    Plus tard, Ludivine ayant récupéré, nous passons la soirée à discuter, les filles dans le canapé, moi vautré dans un fauteuil. Lumière baissée, nous baignons dans une ambiance feutrée, où nous parlons bas, devrais-je dire, où elles parlent bas…
    
    De ma place je les observe et c’est un plaisir pour les yeux et les sens.
    
    Des mouvements variés de jambes croisées et décroisées, laissant voir chaque fois des bouts de cuisses, une seconde même parfois, un soupçon de culotte… Et aussi des bruissements de tissu, un sein entrevu dans une échancrure, un bâillement du kimono, leurs ...
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