1. La petite chienne de Maîtresse P. 19 - Fin


    Datte: 19/11/2023, Catégories: Transexuels Auteur: byGinaputana, Source: Literotica

    ... émotion, mais rien de plus. Avec nos airs de touristes habillées en salopes nous avons croisé son regard, qui en disait visiblement long sur ce qu'elles pensaient de l'habillement de ces deux femmes indignes, mais pas le moindre signe d'une émotion à reconnaître son fils. Nous avons passé à côté d'elle sans voir la moindre réaction. Test réussi. Sachant notre relation de l'époque, cela m'a complètement rassurée et tellement confortée dans ma certitude que ma vie était désormais celle que je vivais, femelle salope au service de Maîtresse Irina.
    
    Aujourd'hui j'ai 22 ans, je suis l'esclave, la salope, la pute, la chienne soumise de Maîtresse Irina depuis 4 ans. Je suis sa chose, son objet sexuel, sa bimbo brainless dépravée, son objet de totale débauche sexuelle, son ustensile à plaisir. Je suis tout ça et surtout je lui APPARTIENS. Et désormais je n'imagine pas devoir changer quoique ce soit dans cette vie fantastique que m'offre Maîtresse.
    
    Maîtresse Irina restait Maîtresse Irina, une dominatrice extrêmement vicieuse, sévère, sadique aussi. Elle avait ça dans ses tripes, c'était dans son ADN, soutenu encore par sa nymphomanie. Elle continuait à me dresser, à me punir, à me torturer, à me conforter dans mon statut de chienne, de bimbo slut fuckdoll et de parfait objet sexuel à son service, comme toujours. Elle en avait besoin pour satisfaire son immense perversité. Mais une relation nouvelle s'était peu à peu nouée entre nous avec le temps, nous avions compris combien ...
    ... chacun de nous avait besoin de l'autre. Elle de m'abuser et de me punir et moi de l'être. Cela devenait une relation presque amoureuse, en tous cas réciproquement respectueuse malgré les apparences trompeuses d'une relation dominante-dominée. Autant elle retirait du plaisir à m'user et à m'abuser, pour satisfaire ses instincts sadiques, autant elle savait ne jamais dépasser certaines limites et que de me traiter ainsi était peu à peu devenu chez moi un véritable besoin, dont je ne pouvais plus me passer, pour calmer mes propres envies masochistes, sources d'intenses jouissances. Et elle était même capable de me montrer des moments de tendresse, surtout après des punitions douloureuses, où elle me prenait ensuite dans ses bras pour me calmer, me caresser, me susurrer des mots tendres et me rassurer, comme on prend un petit enfant.
    
    Mais surtout nous avions développé entre nous cette merveilleuse complicité qui nous unissait.
    
    -Tu sais que l'an prochain nous fêterons nos cinq années passées ensemble, tu me combles toujours ma belle petite pute, tu es devenue exactement celle que je voulais avoir pour moi. Cinq ans, je n'y aurai jamais cru, il faudra fêter ça, organiser une petite cérémonie pour marquer ce passage. Une idée m'a récemment traversé la tête. Que penses-tu de t'imprimer définitivement ton appartenance en te marquant au fer rouge au cours d'une belle cérémonie, pour graver dans ta peau une marque définitive et indélébile d'appartenance, comme on marque un animal?
    
    - ...