Friche industrielle 02
Datte: 19/11/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Charly Chast, Source: Hds
Friche industrielle 02
Le brun s'amusait à faire durer le plaisir, il appuyait sur ma tête, il enfonçait ainsi sa queue bien à fond dans ma gorge. Je devait être tout rouge à ce moment, j'avais du mal à respirer, je ne parvenais pas synchroniser ma respiration.
Mais il faut dire qu'ils m'avaient bien chauffé la cervelle tous les deux. J'avais envie d'une bite dans la bouche, dans le cul … J'avais envie d'une bite et même si j'avais du mal je l'avalais jusqu'au fond de ma gorge.
Il me laissait de temps en temps relever la tête, je prenais alors une grande inspiration et j'y retournais.
Au bout d'un petit moment le bonhomme commençait aussi à s'énerver. Il relevait alors le bassin et me donnait en même temps de violent coups de bite dans le fond de la gorge. J'encaissais, je ne dis pas que c'était facile mais j'en avait tellement envie que j'encaissais, et avec délectation même.
Je lui caressais le corps avec douceur, il était totalement épilé, je lui tripotais les couilles en même temps que j'avalais sa queue, il me laissais faire et se contentait juste d'appuyer sur ma tête.
Il ne me prévenait pas et se relevait brusquement. Je suivais le mouvement et continuais à lui sucer la queue, il me balançait quelques coup de queue avant de me repousser sur le tapis, là ou il était allongé. Je me retrouvais donc sur le dos, les quatre pattes en l'air.
Il s'allongeait sur moi, je refermais mes bras autour de son cou et mes jambes autour de ses reins. Je sentais la ...
... chaleur de tout sont corps doux et lisse. Il m'embrassait sur les lèvres puis son visage descendait vers mes tétons, il me les mordillait. Je gémissais de plaisir.
Ensuite, toujours sans me demander ce que j'en pensais il me lubrifiait généreusement le cul, je le laissais faire et j'écartais seulement les jambes.
C'était pas désagréable finalement, il me glissait un doigt puis un second dans le cul, il en profitait pour me masser la prostate et le plaisir montait. De nouveau il s'allongeait sur moi, m'embrassait et assez vigoureusement me glissait sa queue dans le cul.
Ça rentrait tout seul, il avait bien lubrifié et ça glissait sans aucune résistance. C'était bon, je gémissait de plaisir, il en avait un belle et il ne lui fallait que quelques secondes pour bien me remplir. Je le sentais m'envahir, me remplir. Au moment ou son ventre s'écrasait contre mes fesses, sa queue appuyait bien au fond de mes entrailles, appuyait je ne sais pas vraiment ou mais je le sentais bien, c'était pas vraiment agréable mais je n'avais pas envie qu'il arrête, j'en bavais mais je voulais qu'il continue.
Quand il me demandait …
– Ça va ?
Je lui répondais, toujours avec une voix crispée …
– Vas y défonce moi le cul !
C'est sûr que je ne pouvais pas me plaindre après ça. Il accélérait le mouvement, il augmentait l'amplitude des ses mouvements, il se retirait presque totalement de mon cul avant de revenir bien à fond.
Je me cramponnais ou je pouvais, j'étais sur un tapis ...