COLLECTION HISTOIRE COURTE. Représentant en aspirateur (1/1)
Datte: 15/11/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
• Madame, je vends des aspirateurs avec une aspiration puissante au meilleur prix !
« Claque. »
C’est une énième porte que l’on me ferme à la gueule aujourd’hui, quel boulot de con et moi pauvre idiot d’avoir accepté ce travail de merde.
Lorsque Sabrina m’a fichu à la porte après que je l’avais trompée avec sa sœur, j’ai cru que ma belle gueule serait un atout.
Je dois être précis, je me suis fait violer par sa sœur, cette salope chaude du cul alors que ma femme serait plutôt du genre glaçon.
On va dire que c’est Agathe que j’aurais dû épouser et non sa soeur, mais Sabrina était ma patronne et c’est elle qui avait le pognon.
J’étais son employé dans son magasin de chaussures et en épousant ma patronne, j’ai pu grimper dans l’échelle sociale.
Sabrina a le pognon, mais Agathe aussi, car c’est une pute, pardon une escorte comme l’on dit maintenant.
Sauter à l’œil une fille de joie, comme l’on disait dans le passé, je me suis senti fort surtout que c’était mon jour de relâche à la boutique alors que ma femme était au travail.
Agathe avait une partie de la maison familiale, mais elle allait chez ses clients sans jamais en amener un à la maison.
C’est sur un site qu’elle trouve ses clients, j’ai eu l’occasion de le découvrir sans qu’elle le sache.
C’est un jour de repos que je l’ai découvert, je trainais sur mon ordinateur à la maison en cherchant des films cochons.
Ma femme est si peu portée sur le sexe, que ces jours-là, je me masturbais en ...
... regardant des femmes se faire enfiler par de multiples queues.
Un site, un autre, « Escorte VIP » et une silhouette, mais surtout une photo prise dans un cadre que j’ai cru reconnaitre, notre jardin commun.
J’avais un doute, car son visage était flouté.
Ce jour-là, j’avais vu Agathe se faire bronzer sur notre pelouse, elle me faisait bander dans son petit Bikini profitant du soleil du mois de juin.
Près d’elle un portable sur la table du salon de jardin.
C’est vrai que depuis que je la connais, son portable est toujours à portée de sa main.
Sur le site, il y avait un numéro pour la joindre, j’ai décidé d’appeler en observant sa réaction.
06, j’ai entrouvert la fenêtre, nul doute, c’est dans le jardin que ça sonnait, surtout lorsqu’elle l’a pris en main.
« Oui ! »
J’ai rapidement coupé comme un enfant le ferait lorsqu’il se sent pris les doigts dans le pot de confiture.
J’avais ma preuve, le « oui » si court était-il, sortait des jolis poumons que j’admirais depuis de longues minutes au-dessous de moi.
Je savais, mais je me taisais dans les jours qui ont suivi.
Combien, qu’importe, chaque fois que j’entendais sa voiture partir, je savais qu’elle allait vendre son cul.
Quelquefois elle s’absentait plusieurs jours, chaque fois à son retour, quelque chose changeait chez elle.
Nouvelle télé écran plat, nouvelle voiture plus sportive que la berline qu’elle avait, mais aussi ses fringues.
Elle nous avait toujours dit qu’elle représentait une ...