Mer, Mob et Meuf
Datte: 15/11/2023,
Catégories:
fh,
inconnu,
plage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
pénétratio,
fsodo,
moto,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... réfléchir… samedi prochain, il y a une grosse probabilité que je sois à nouveau dans cette crique en fin de matinée. Mon homme sera retenu par son club toute la journée.
C’est bon à savoir. Elle ajoute d’un air mutin :
— Arrive le premier…
— Sois sans crainte ! Je viendrai même la veille afin de camper sur place pour être sûr de ne pas te louper !
Pour toute réponse, elle dépose un petit baiser sur mes lèvres.
Même si je ne suis pas revenu au meilleur de ma forme, je réponds fougueusement à son baiser, avec la ferme intention de profiter à nouveau ignoblement de ses formes et de ses courbes. Plaquée contre son corps si voluptueux, je me laisse emporter par la vague de désir qui s’empare de moi.
Après bien des baisers et des caresses, Noémie murmure :
— Tu me prends à quatre pattes ?
— Quatre fois plutôt qu’une !
À peine Noémie est-elle cul en buse que je positionne derrière elle, le sexe bien raide et pointé, fermement décidé à profiter tout de suite, sans préliminaire, complètement mû par un désir totalement primaire. Je trouve tout de suite la bonne entrée et le bon angle.
— Aaah !
Un double cri, pour elle comme pour moi.
Je pose possessivement mes mains avides sur les hanches offertes de ma femme, puis avec un cri proche d’une éructation, je commence tout de suite à pistonner son antre de bon cœur, comme si ma vie en dépendait.
— Oh oui ! Continue ! Continue !
Visiblement, Noémie adore être prise avec un peu de fermeté, ce qui me va ...
... parfaitement. J’adore chevaucher les motos ainsi que les femmes. J’adore aussi coulisser de tout mon long en elle comme une bête, me laissant glisser sur la pente de la débauche et de la luxure. Faire l’amour à la courtoise, ce n’est pas vraiment mon truc. Je préfère nettement les corps-à-corps torrides, comme maintenant.
Oh que cette femme me rend fou, j’ai trop envie de la posséder, de l’avoir que pour moi. Ce n’est pas la première fois que je désire une fille, mais aujourd’hui, c’est nettement l’étage du dessus !
— Argh !
Un cri bref et étranglé. La bouche béante, le nez au plafond, les yeux révulsés, je suis en train de jouir par petites secousses. Le haut de mon corps est figé, statufié, blanc comme du marbre. Le temps est suspendu, je suis statufié. Je constate aussi que ma jouissance vide mon cerveau. Une vieille plaisanterie dit que les hommes ne peuvent pas irriguer en même temps le cerveau et remplir les corps caverneux et spongieux de la verge.
Dans un épais brouillard blanc, planant là-haut, j’entends Noémie jouir, son corps assailli de multiples tremblements.
Quelque temps après, vidé, épuisé, je me retire à regret de ce corps si voluptueux, puis je m’affale sur le dos, juste à côté de Noémie qui s’écroule aussitôt. À moitié ensommeillé, affaibli, je la capture aussitôt dans mes bras.
Le soleil décline petit à petit, les heures ont défilé comme des minutes. Soudain, d’une main, tout en restant collée à moi, Noémie fouille son sac et en extirpe son ...