Violée en Turquie: Deuxième Partie
Datte: 14/11/2023,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byinnbay, Source: Literotica
... seins, son visage et même dans sa bouche.
Ces deux vicelards qu'elle avait regardés, sur cette vidéo enregistrée sur son portable, lécher ses parties intimes, leurs langues épaisses et baveuses fouillant son vagin jusqu'à son hymen avant de redescendre jusqu'à son anus.
Azra avait visionné cette vidéo encore et encore, à la fois dégoûtée mais également troublée et même (elle n'osait se l'avouer) excitée de voir que deux hommes, dont son propre grand-père, avec sa queue fine et dure, puissent tant la désirer.
Tiraillée entre les abus dont elle avait été victime et les envies innommables que ces attouchements non désirés éveillaient en elle, elle avait toutefois choisi de partir, sans jamais revenir.
Établie à Istanboul depuis maintenant deux ans, elle avait perdu sa virginité quelques mois après son arrivée.
Ayant été licenciée et afin de ne pas être explulsée de son appartement et de se retrouver à la rue, elle avait du accepter de s'offrir à son propriétaire qui l'avait même partagée avec son fils déficient.
Après avoir trouvé un nouvel emploi, elle avait pu déménager et se libérer du joug de ce gros porc.
Depuis son arrivée à Istanboul, elle avait eu quelques amants mais elle était maintenant seule depuis six mois.
Honteusement, il lui arrivait encore de se doigter en regardant cette vidéo qu'elle avait conservée, cette vidéo où Atila et son grand-père la violaient.
Pour se satisfaire, elle s'était même procuré deux godes: un long et mince comme ...
... le pénis de son grand-père, l'autre court et épais comme la queue d'Atila.
Lorsqu'elle se masturbait, elle enfilait le gode de son grand-père dans sa chatte et celui d'Atila dans son anus, fantasmant que les deux hommes la violaient ainsi, à travers cette double pénétration, jusqu'à ce qu'elle jouisse intensément sur leurs bites d'abuseurs.
D'un autre côté, même si Azra les avait quittés, la guerre en Syrie avait mis sur le chemin du médecin et de son acolyte nombres de jeunes femmes fuyant les combats.
Le vieux médecin arrivait facilement à gagner leur confiance en leur offrant soins, vêtements et nourriture.
Puis, il les droguait en leur faisant ingurgiter une faible dose de somnifères souvant dissoute dans une tasse de thé.
Ces jeunes femmes se réveillaient attachées par les poignets à l'anneau fixé au mur et par les jambes aux étriers gynécologiques.
Ces femmes qu'aucun homme n'avait jamais vu nues... et encore moins touchées.
Ces femmes n'ayant, non plus, jamais vu le pénis en érection d'un homme.
Ces femmes forcées d'accueillir ces glands violacés entre leurs lèvres, avant de goûter et d'avaler cette substance gluante qui remplissait leur bouche et coulait au fond de leur gorge.
Ces femmes, contraintes à subir, à leur corps défendant et malgré toute la répulsion qu'elles éprouvaient à l'endroit des deux hommes, le premier cunni de leurs jeunes vies.
Cet immonde cunni générant un intense plaisir non consenti qu'elles ne pouvaient empêcher de ...