1. La bataille des cinq espions


    Datte: 13/11/2023, Catégories: fh, hotel, voyage, Voyeur / Exhib / Nudisme Transexuels pénétratio, fsodo, policier, Auteur: Samir Erwan, Source: Revebebe

    ... mais ce n’est pas toi que nous attendions ! qu’est-ce que c’est que ça ?
    — Raïssa, ma chère Raïssa. Je ne suis plus Juliette désormais, mais je m’appelle Jane pour la couverture, et je te présente mon mari qui m’épaulera dans cette mission.
    
    Puis, Juliette, d’une voix forte, m’a appelé. J’étais bien obligé de sortir de la salle de bain, une serviette autour de la taille, ruisselant d’eau.
    
    — Toi ?
    
    Raïssa n’a pu répondre que cela, la bouche ouverte par la stupéfaction, additionnant les corps presque nus de Juliette et moi, dans la même chambre d’hôtel.
    
    — Salut Raïssa.
    
    Je n’allais pas rajouter : « Ce n’est pas ce que tu penses… », cela n’aurait servi à rien, il suffisait que Juliette s’explique, pour toute cette mise en scène ; c’est tout. Mais c’est alors que j’ai remarqué le lit défait, mes vêtements éparpillés dans la chambre, ceux de Juliette aussi, un slip bien en évidence. Jamais je n’aurais pu imaginer cette situation, me faire « surprendre au lit avec ma Supérieure », devant Raïssa : à quoi tout cela rimait-il ? L’homme avec le bras en écharpe, derrière une Raïssa habillée d’une robe éblouissante et révélatrice, souriait, rigolait de la situation en silence. Juliette l’a rompu :
    
    — Je vais terminer de me préparer. En attendant(Juliette m’a montré des habits sur le lit), voilà pour toi. Je reviens.
    
    Elle a pris soin de me caresser le torse, un sourire de jubilation sur le visage, avant de s’enfermer dans la salle de bain. Je me suis secoué, j’ai regardé ...
    ... Raïssa, elle aussi a secoué la tête, des yeux frappés de stupeur :
    
    — C’est quoi l’histoire ? Tu te tapes notre boss maintenant ? En plus de tout le reste ? a-t-elle suggéré, un demi-sourire sur les lèvres.
    — Mais non, mais non.
    
    Je me suis avancé vers le lit pour observer le linge que Juliette m’avait préparé puis j’ai laissé tomber la serviette comme si j’étais seul pour enfiler mon sous-vêtement :
    
    — En fait, je ne sais vraiment pas ce qu’elle veut. J’ignore tout du traquenard dans lequel je suis tombé, ou que nous sommes tombés.
    
    Raïssa a croisé les bras en me regardant, méfiante, défiante. Elle ne saisissait pas non plus la scène, mais semblait trouver du charme à la situation :
    
    — Tu veux me faire croire que vous deux, te connaissant(son index faisait l’aller-retour entre moi et la porte de la salle de bain), alors qu’on vous prend presque à poil, vous n’avez rien fait avant que nous arrivions ?
    — Tout à fait, en haussant les épaules, et continuant de m’habiller.
    
    Raïssa a fait un bruit de langue et de bouche, que seuls les Algériens sont capables de faire pour montrer le mépris.
    
    — Et tu continues à aimer les femmes malgré tout
    — Mais oui.
    — Et tu ne te la tapes pas ?
    — Tout à fait ! ai-je conclu en soupirant.
    
    Raïssa a fait de nouveau ce bruit de succion de la bouche démontrant le doute, puis l’homme qui accompagnait Raïssa a mis sa main valide sur son épaule :
    
    — Raïssa, c’est possible, tu sais…
    
    Mon agente a haussé les épaules, ignorant mon ...
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