Élise libertine 67 Un samedi presque ordinaire - Histoires de Sexe

Élise libertine 67 Un samedi presque ordinaire

Ce matin d’été 2006 au réveil j’ai envie de pimenter mon week-end. Après le petit déjeuner je demande à Alan de m’aider à toiletter ma petite chatte il taille mon petit triangle et fait disparaitre les poils importuns. Après la douche J’attache mes cheveux avec une pince que j’ai personnalisée en brodant un couple en position levrette avec des perles. J’enfile un chemisier de mousseline blanc laissant deviner ma poitrine libre de toute entrave, un string blanc sous ma jupe fluide bleu-marine courte et mes talons aiguilles d’été blanc. Alan sait que lorsque je suis comme cela je vais partir en chasse.

Après avoir établi le programme de la journée. Nous partons à Marseille au centre commercial centre bourse pour faire quelques achats, ensuite nous allons déjeuner sur le port. Après le repas nous prenons un café sur le cours Estienne d’Orves près du musé artisanal avec l’intention d’aller finir l’après-midi vers la plage. Nous marchons sur le cours lorsque nous sommes abordés par un homme de couleur.

L’homme à la peau d’ébène la quarantaine est grand environ un mètre quatre-vingt avec un torse musclé moulé dans un t-shirt rouge. Il se présente avec un léger accent.

-« Je m’appelle Kayo je suis originaire du bénin puis-je me permettre de vous poser une question j’ai vu la barrette dans vos cheveux madame c’est original et très osé, est ce en rapport à votre état d’esprit. »

-« tout à fait j’utilise parfois des accessoire que je personnalise pour trouver des ...

... partenaires. »

-« je peux vous offrir un verre chez moi pour en discuter, j’habite à cinquante mètres d’ici. »

Je regarde mon mari qui me fait signe de décider ce que je veux, l’envie de me faire baiser par ce beau black occupe mon esprit.

-« je m’appelle Élise et mon mari Alan nous acceptons votre invitation. »

Nous le suivons et montons les escaliers vers la rue Fort Notre Dame. En arrivant dans son logement il nous sert un verre et s’assied près de moi sur le canapé. Nous discutons, il nous interroge et Je lui réponds avec franchise.

-« Que recherchez-vous dans le libertinage, quelles sont vos limites et critères pour le choix de vos partenaires en matière d’âge, de physique ou de race ? Vous n’êtes pas raciste»

-« J’adore le sexe sous toutes ses formes même gang-bang. Alan est candauliste il adore me regarder jouir. Je ne rate jamais l’occasion de baiser avec des noirs ou des magrébins surtout bien membrés en tout cas pour le sexe je ne suis pas raciste. L’âge importe peu s’ils sont équipés et baisent bien j’aime être une salope pour Blacks ou Beurs. Mon exigence c’est l’hygiène »

En m’écoutant il me caresse la main et la cuisse. J’observe en souriant la déformation de son pantalon je pose ma main sur son entrejambe je tâte le tissu sous lequel se cache une queue qui semble imposante.

-Voilà une bosse bien prometteuse

Kayo se lève : « il ne tient qu’à toi d’en profiter si tu veux continuer dans la chambre. »

Je me lève, il me guide vers sa chambre, ...