Faites les mots, pas l'amer
Datte: 06/07/2019,
Catégories:
f,
fh,
extracon,
inconnu,
piscine,
hotel,
douche,
amour,
vengeance,
contrainte,
dispute,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
nopéné,
jeu,
Humour
Auteur: Olaf, Source: Revebebe
... longuement devant ses friandises intimes.
Sans perdre de temps, elle se déshabille, cette fois-ci entièrement, et s’allonge sur le ventre. Au menu dos, chute de reins, fesses et cuisses. Mais rien que pour faire les mots, bien entendu… Sauf que là, ce ne sont pas de simples fesses qui sont soumises à ma concupiscence, mais de parfaits hémisphères, dessinés selon le nombre d’or. Une perfection anatomique sur laquelle j’hésiterais en temps normal à poser les mains, à supposer qu’elle m’y autorise, tant je ne voudrais pas en perturber la sublime harmonie. Un arrondi exceptionnel à n’aborder que par des guirlandes de baisers, un sillon infiniment troublant à contempler dans le plus profond respect, un évasement sans pareil, à caresser longuement du regard, tout en bénissant le Créateur.
Cette vision du côté pile de Meike est d’autant plus émouvante, que je ne me suis pas privé de la regarder marcher ces derniers jours, et que ses mouvements harmonieux ont déjà abondamment excité mes rétines. Après avoir contemplé le bas de son dos, l’arrondi de ses hanches, le balancement de ses reins, quelle découverte de pouvoir profiter à loisir de ses fossettes, de ses rondes-bosses et des délicats clairs-obscurs qu’elle me dévoile.
Etrangement, alors qu’elle est intégralement nue sur mon lit, je me surprends à la reconstruire comme elle s’est montrée ce matin, couverte d’un léger deux-pièces, qui, il est vrai, mettait plus en valeur qu’il ne cachait ses trésors. Contemplant le ...
... sillon fessier de Meike, je revois la fine bande de tissu s’enfoncer entre ses deux globes charnus, et effleurer à chaque pas les renflements de sa féminité. J’imagine le chemin qui mène de la plage de lumière du bas de son dos à la nuit moite et chaude de son intimité, dont je connais déjà par cœur l’émouvant dessin.
Je suis censé lui offrir le jeu des mots. Mais face à ce cul somptueux, ces hanches larges et cette chute de reins sculptée par une intense pratique des mouvements de l’amour, je me retrouve muet d’admiration. Inversement, mon sexe se tend bruyamment dans le silence de cette découverte intime.
La fine mouche ne manque pas de réaliser que quelque chose est en train de se transformer en moi. Comme si elle n’attendait que cela, elle se tourne sur le côté et découvre mon état, les yeux grands écarquillés. Je m’attends à la voir réagir furieusement. J’ai trahi la règle première de notre convention, il serait légitime qu’elle s’en offusque et me remette en place vertement. Je redoute même de la voir quitter précipitamment ma chambre. Il n’en est rien. L’hommage semble lui plaire.
— Les mots vous manquent ou vous n’avez plus assez de sang pour faire fonctionner le cerveau et la queue de concert ? dit-elle avec une surprenante liberté d’expression.
— Je suis désolé, ça m’est venu d’un coup, je…, enfin…
— Il n’y a rien de grave à cela, c’est même assez flatteur ! Allongez-vous et fermez les yeux. Disons que c’est mon tour de faire les mots. Vous verrez comme c’est ...