1. Le siphon


    Datte: 07/11/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Renifleur, Source: Hds

    -Alain fait un collègue, le téléphone pour toi.
    
    -C’est qui ?
    
    -Je ne sais pas, c’est une femme.
    
    Je me saisis de l’appareil et dis :
    
    -Oui !
    
    -Salut Alain c’est Margaux.
    
    -Salut Margaux, comment vas-tu ?
    
    -Très bien et toi ?
    
    -Parfaitement et ton chéri ?
    
    -C’est de sa part que je te téléphone.
    
    -Qu’à t-il fait encore ?
    
    -Il n’est pas capable de déboucher l’évier.
    
    -Il n’a que le siphon a démonté.
    
    -Et bien même ça il ne sait pas faire.
    
    -Et il est là quand ton chéri ?
    
    -Il ne bouge pas, pourquoi ?
    
    -Dis-lui que je passe une fois ma journée de boulot terminée.
    
    -A tout à l’heure alors, lâche-t-elle avant de raccrocher.
    
    Sacré Philippe, fais-je pour moi-même.
    
    Margaux vient m’ouvrir, enjouée. Elle est sur son trente et un. Après la bise d’usage elle m’entraine jusqu’au salon que je connais comme ma poche pour avoir à plusieurs reprises pris l’apéro.
    
    -Où se planque-t-il ton chéri.
    
    -heu ! Il a dû s’absenter.
    
    -Il va revenir au-moins ?
    
    -Oui bien sûr !
    
    -Bon en attendant son retour je vais m’occuper du siphon si tu le permets.
    
    -Bien sûr. Je ne te montre pas le chemin.
    
    -Vilaine ! Fais-je en m’y rendant.
    
    Il me faut pas plus de cinq minutes pour que l’évier retrouve son activité. Heureuse Margaux m’invite à prendre un verre dans le salon.
    
    -On n’attend pas ton chéri ?
    
    -Il nous rejoindra dès son arrivée ! Lâche-t-elle en mettant de la musique.
    
    Elle prend place face à moi en croisant les jambes très haut. On parle de ...
    ... tout et de rien. A un moment je demande des nouvelles de son mari d’un ton anxieux :
    
    -Il arrive quand ?
    
    Margaux m’adresse un sourire avant de laisser tomber :
    
    -Il ne va pas tarder ! Alors qu’elle se lève en écartant largement les cuisses. Des poils frisés débordent de sa culotte blanche.
    
    -En attendant sa venue nous pourrions peut-être danser.
    
    -Je ne sais danser que les slows !
    
    -Ça tombe bien, le CD est composé que de slows. Sourit-elle en me tendant les mains.
    
    Je m’empresse de la rejoindre sur fausse piste. Ses yeux brillent, elle se laisse enlacer. Elle me serre dans ses bras. Ecrasant sa poitrine contre mon torse. Faisant pesée sa chatte contre ma verge. J’ai l’impression de la baiser debout. A quoi joue Margaux ?
    
    Je vais pas tarder à le savoir, puisque tout de suite la voilà en train d’ouvrir ma braguette, y plonge la main. Les yeux mi-clos, aux anges, elle hoche la tête, grogne de satisfaction en enserrant ma verge, soupesant les couilles. Pris par surprise je suis dans l’incapacité de faire quoi que ce soit. Je ne la connaissais pas aussi directe. Si gloutonne !
    
    Margaux vient de sortir ma verge de son nid.
    
    -Et ton mari… si il arrive…
    
    -On l’entendra venir ! Lâche-t-elle en se laissant glisser sur les genoux pour la voir de plus près, la palper, la renifler, la parcourir de baisers. Elle la prend en bouche. Elle roucoule de bonheur en pétrissant mes couilles, tétant le gland, branlant la base de la verge.
    
    -Pourquoi fais-tu cela Margaux ...
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