Examens préalables
Datte: 05/11/2023,
Catégories:
sonde,
speculum,
ff,
fff,
grp,
fplusag,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
intermast,
rasage,
Oral
lavement,
fouetfesse,
dominatio,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... adorable et prévenante tout le temps que nous conversons, un verre à la main, en dames de bonne compagnie. Puis, à son heure et à son ordre, je me dévêts pour accomplir ma punition ancillaire. Peler et découper des pommes de terre en tenue d’Ève (celle de la Bible, évidemment ! ) ne pose aucun problème, sinon d’éviter d’amener quelques poils dans la passoire lorsqu’une tranche indisciplinée s’est nichée dans ma touffe. Il en est autrement quand il s’agit de manier la cocotte, y faire chauffer l’huile et plonger ladite passoire dans l’huile bouillante.
D’infinies précautions m’épargnent la plupart des éclaboussures. Il en est cependant d’infimes que l’on ne remarque pas sur le tablier, mais que l’on ressent vivement à peau nue. Mon ventre (merci ma touffe ! ) et mes seins accueillent de multiples micros-gouttelettes qui sont autant de piqûres d’aiguilles que je reçois stoïquement. Le retrait à mi-cuisson est l’occasion d’une nouvelle salve dont j’ai l’impression que mes aréoles font seules les frais.
Retrait à mi-cuisson parce que ma Maîtresse préfère ses frites sautées à la poêle avec aïe et persil. Ses désirs sont des ordres, n’est-ce pas ? Donc, me voici queue en main à tenter d’esquiver les morsures des invisibles assauts que je provoque en secouant l’ustensile. La main de Madame, elle, caresse mes fesses, glisse dans le sillon, approche du point sensible… C’est agréable jusqu’à ce qu’un doigt se pose sur l’œillet. Quand il fait mine de le forcer, je me crispe et ...
... m’immobilise.
— Une soumise ne se laisse jamais distraire dans sa tâche, sache-le, m’avertit-on à l’oreille.
Je me relaxe, décontracte mon cul, me résigne à la pénétration et me remets à l’œuvre. Le doigt joue avec les bords de mon trou puis le dédaigne. Ce n’était qu’un simulacre en guise de leçon. Je suis rassurée. Soulagée, oui, mais pourquoi déçue, aussi ?
Les patates sont cuites, dorées à souhait. La table est mise, Colette me vouvoie à nouveau. Elle me complimente pour la cuisson, je lui réponds mettre ma réussite au compte de son intermède culier. C’est faux, bien sûr, mais ça nous amuse. J’ai le droit de me couvrir, je m’y refuse. L’atmosphère est douce, j’aurais trop chaud avec le manteau de mouton retourné prêté par mon hôtesse. Elle m’imite par courtoisie pour m’accompagner dans un repas naturiste et profite de ma nudité pour passer un baume sur mon buste tourmenté.
Le massage des seins est un délice sous des doigts délicats. Entre nombril et pubis, c’est un bonheur. Je suis encore sous le charme tandis que nous dînons frugalement avant de nous retrancher dans le petit salon contiguë à la cuisine pour la suite de nos échanges.
— Emportez le manteau, me conseille Colette. La température va baisser ici. J’ai ouvert la porte de l’escalier pour que la chaleur monte dans ma chambre. La vôtre sera glaciale cette nuit, je vous invite à dormir avec moi.
Je n’ai rien contre, je n’envisage aucun sous-entendu de sa part. J’ai surtout hâte d’entendre et de noter ...