1. COLLECTION LE MARIN. Les mûres et ma fille (1/2)


    Datte: 05/11/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... la bouche, je la relève, tout en déchirant la pochette avec mes dents.
    
    Pendant que je la place sur mon pieu, c’est elle qui fait tomber sa combinaison m’apparaissant nue dans la splendeur de sa trentaine.
    
    Si j’ai eu, une fraction de seconde des scrupules à baiser la femme d’un sous-off grade que j’aspire à atteindre, je veux cette femelle en chaleur.
    
    Dire que son mari est seulement parti depuis ce matin !
    
    Dans quel état va-t-elle être au bout de sa semaine de mer.
    
    Elle semble être une chaude du cul profitant de la moindre occasion.
    
    Une fois la protection placée, je l’assieds sur la selle de sa moto et je la plante directement.
    
    Comme je l’ai dit pendant ma perm, j’ai connu cette femme qui semblait vouloir se venger de son mari l’ayant cocufié.
    
    Lorsqu’elle me reprend la bouche, ses mains autour de ma nuque, c’est une véritable chienne que je saillis.
    
    Mes mains se portent autour de ses reins pour mieux me propulser en elle.
    
    Elle se cabre en arrière au risque de faire tomber la moto et éructe littéralement lorsqu’un orgasme la traverse.
    
    Au moment où j’ai éjaculé, mes jets ont été si puissant que j’ai senti que quelque chose clochait.
    
    Je me suis retiré, la capote avais littéralement explosé, dispersant le sperme qu’elle contenait.
    
    J’ai eu l’impression que j’étais sorti à tant et un peu foireux, j’ai prétexté un rendez-vous incontournable pour me sauver comme un voleur.
    
    Je me suis bien gardé de revenir chez Loïc et Gaëlle, peu enclin à ...
    ... vivre un conflit familial dès le retour du cocu.
    
    Le temps a passé, j’ai quitté la marine à 24 ans et je suis allé vivre en Bourgogne région où se trouvait la jeune femme que j’ai épousée.
    
    Je voulais faire carrière, mais Michel mon beau-père avait une ferme non loin de Dijon.
    
    Là encore dont je tairai le nom, la seule chose que je peux dire, c’est que c’est au nord-ouest de Dijon, en direction de Châtillon.
    
    Avec ma formation de mécanicien, c’était bien utile pour entretenir le matériel, nul besoin de payer pour ce travail.
    
    La Bretagne et le coup de la baise sur la moto était devenu un vague souvenir, mais fort plaisant au demeurant.
    
    Au fil des années, j’éviterais de parler de ma famille, sauf des engueulades de plus en plus fréquentes avec mon épouse.
    
    Moi très calme, j’avais appris à fermer ma gueule comme le font de nombreux maris.
    
    Un jour, elle m’a tellement cassé les couilles, excusez l’expression, c’est la seule qu’il m’est venu.
    
    Souvent, je lui disais qu’un jour je me tirerais et qu’elle recevrait mon avocat pour le divorce.
    
    Si je l’avais épousé c’était que je l’aimais et c’était plus pour lui faire peur que par envie de séparation qu’un soir j’ai tourné ma clé de contact.
    
    J’ai roulé jusqu’à épuisement stoppant sur la place d’un village où j’ai été réveillé par le garde champêtre.
    
    Lui demandant où j’étais, je me suis aperçu que je m’étais rapproché de la mer, elle devait me manquer.
    
    J’ai décidé de pousser jusqu’à Lorient lorsqu’une haie ...