1. Lise au cinéma


    Datte: 04/11/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: RenaudetLise, Source: Hds

    ... femelle, à travers la culotte.
    
    Je cède ma place et je vais m’asseoir sur le lit, je deviens voyeur.
    
    Le chauve prend ma place, Lise lui prend la queue et le branle, il en profite pour bien baisser son pantalon. Il me semble qu’il ne porte pas de slip.
    
    Le gars derrière Lise a plongé ses deux mains sous les bretelles de la robe et malaxe sans vergogne les seins qu’il est arrivé à sortir de la robe, je sais qu’elle adore cela. Elle souffle fort et s’avance sur le siège pour s’offrir davantage à toutes ses mains. Le patron se lève et invite le jeunot timide à prendre sa place, il s’installe et prend immédiatement le relais. Il caresse l’entrejambe de Lise qui a ouvert complètement ses cuisses maintenant. Les deux jeunes entreprennent de remonter la robe de Lise sur sa taille, ils lui enlèvent la culotte et dévoilent sa belle chatte lisse que j’adore. Ils semblent aussi en extase devant cette peau lisse et ces lèvres intimes qui pendent.
    
    Le patron les encourage : « Allez y les gars, elle est chaude, elle aime la bite, allez y franchement ! »
    
    Le grand brun s’est complètement déshabillé, il est bien musclé, tout en finesse, comme Lise aime. Sa bite tendue est joliment recourbée vers le haut, bien épaisse, le gland décalotté rouge de désir. Lise le fixe, sa langue frémit. Le mec s’avance, grimpe sur les fauteuils et présente sa belle queue à Lise qui la fourre dans sa bouche sans hésitation. Le jeunot, pas si timide que ça finalement, s’installe entre les cuisses de ...
    ... ma belle et commence à lécher les grosses lèvres de sa chatte bien mouillée. Elle branle toujours bien le chauve qui se laisse faire en grognant de plaisir. L’autre lui enfonce bien le dard au fond de la gorge.
    
    Les anciens s’occupent de ses nichons qu’ils malaxent, pétrissent à l’envie, ils lui tordent les tétons, les tirent, les pincent je sais qu’elle meurt de plaisir sous le traitement qu’on lui inflige.
    
    J’avais un peu peur que tous ces hommes ça fasse un peu trop, mais elle a vraiment l’air d’apprécier ce qui lui arrive. « Oui, c’est bon comme ça, encore, allez-y ».
    
    Le patron, comme prévu, surveille, encourage, il est bien dans son rôle, moi aussi, le cocu encagé. Ma queue épouse les parois de la cage de chasteté, elle voudrait grandir davantage mais elle est bien comprimée. C’est terriblement frustrant et délicieux de voir ma Lise aux mains de tous ces mâles en rut.
    
    D’ailleurs ça s’accélère, les anciens sont maintenant de part et d’autre de son siège et ils lui ont bien relevé les jambes, le petit jeune est à poil, un gros sexe bandé tape entre ses cuisses. Il se met en position et enfonce sa queue dans la chatte baveuse de ma femelle, Lise pousse un petit cri de surprise, vite étouffé par la bite du beau brun qui continue à lui baiser la bouche. Elle a toujours en main le sexe du chauve, elle le branle comme elle peut, les deux autres lui malaxent toujours les mamelles, sauvagement, sentant que c’est cela qu’elle aime. On ne perçoit plus que gémissements, ...
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