1. Dégénérescence Régénérée Pt. 02


    Datte: 04/11/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: bymarco_solo, Source: Literotica

    ... fois le besoin de les humilier, de les asservir et de les briser. Ils doivent m'appartenir. C'est un besoin primaire de domination bestiale sur ces corps nus, offerts et consentants, une nécessité que l'alcool exacerbe au plus haut point. Cet appartement n'est pas un donjon, mais deux crochets au plafond du séjour permettent d'accrocher des cordes. Bertrand a tôt fait d'en faire pendre une paire, je commence un bondage sommaire des poignets du mâle. Cela suffira. Je fais pareil avec la femelle.
    
    Je sors un sac d'accessoires. J'entrave les chevilles des deux esclaves avec des barres d'écartement, je veux garder leur sexe accessible. Je choisis une sorte de chat à neuf queues terminé par des nœuds de cuir. Je teste la résistance du mâle sur ses fesses. Je frappe sans trop de force. Il ne dit rien. J'augmente l'intensité des coups gardant le rythme. Au dixième, il gémit. Je garde cette force, mais j'augmente la cadence. J'exige le rouge du sang sur cette paire de fesses. Le mâle geint mais ne crie pas. Au trentième coup, je lui accorde unepause. »
    
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    Je m'interrompis.
    
    — Mais ce n'est pas arrivé, ce n'est pas com...
    
    — Lis! coupa Bertrand. Continue! Et un peu plus fort, je n'entends rien.
    
    Je craignais qu'une fille rentre dans le bureau en coup de vent. Certaines avaient pris la fâcheuse habitude de ne pas frapper, et, ne sachant pas que je recevais quelqu'un, elles ne dérogeraient pas à la règle. Je repris en haussant légèrement le ton.
    
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    «Je ...
    ... m'occupe de la femelle de la même manière. Je ne suis pas surprise, elle supporte le fouet aussi bien que la mâle, ses râles ressemblent presque à des gémissements de plaisir. Je m'arrête au dixième coup. Ses fesses sont chaudes, son sexe est bouillant et moite. Je me place face à elle et vise sa paire de nibards lourde, tombante mais aguichante. Salope aguicheuse. Je frappe sans trop de force, ses miches dansent sous le coup, une sarabande provocatrice. J'ai touché les aréoles et leurs petits diables carnivores. Elle crie, elle pleure, enfin! Je m'approche, je prends son visage dans ma main et lui crache à la figure, satisfaite. Je ne peux me retenir de lui gifler mon mépris d'aimer cette larve machiste.
    
    Elle baisse la tête et renifle. J'accentue le mouvement de sa tête vers le sol pour lui montrer que je la domine. Elle est la femelle dont je veux asservir le mâle. Je la fesse de dix coups, forts. Elle ne peut s'empêcher de crier au premier. Bertrand la bâillonne pour éviter d'ameuter le voisinage. La salope aime gueuler, je n'ose l'imaginer montée par la bête en train de se laisser aller à rugir sa jouissance ignoble. La force de mes coups va crescendo, inutile de le nier, j'y prends plaisir, je mouille en voyant les fesses de la chienne rougir et quelques gouttes de sang perler. Le rouge m'excite, plus encore il m'emballe, je suis d'ascendance taureau. Je dépasse les vingt coups et j'ai du mal à stopper au bout de trente tant je jouis de la correction que j'administre à ...
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