1. Dégénérescence Régénérée Pt. 02


    Datte: 04/11/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: bymarco_solo, Source: Literotica

    ... pouce dans mon cul dans le même mouvement. Je couinai. J'étais sur le point de protester, mais Bertrand était un grand manipulateur et la paroi sensible entre mon cul et ma chatte était aussi fine et sensible que la séparation entre mon dégout et le plaisir. Je me laissais aller en évitant de regarder le porc tout me concentrant mes sens sur la caresse jouissive que me prodiguait ce vicieux personnage.
    
    C'est alors que je remarquai que Margot chevauchait Toni allongée sur le dos. Je pouvais la voir de trois quarts dos. Emportée par les élucubrations de Bertrand, mon attention s'était détournée des agissements de sa pochetronne d'épouse dominatrice. Son attitude m'était incompréhensible d'autant que sans connaitre aucun des codes comportementaux de ce monde, je me rendais bien compte que le sien était hors norme. Elle était parvenue à se désaper entièrement malgré son ivresse. Elle avait enfourché Toni comme une cavalière une monture de rodéo. Sauf que c'était elle qui s'agitait furieusement et non l'étalon à dresser. Elle avait accroché une chaine entre les deux petits monstres et l'usage qu'elle en faisait rappelait celles des rênes d'un bourrin. Les bonds et sauts de cabri qu'elle effectuait au-dessus de la queue de mon mari frisaient la démence. Tantôt, à califourchon sur le ventre de Toni, ses fesses absorbaient et libéraient la bite frénétiquement ; tantôt Margot basculait vers l'avant, exposant sa croupe, dévoilant sa vulve enserrant la queue masculine, mais le ...
    ... rythme ne faiblissait jamais.
    
    Malgré cette fureur, Toni n'éjaculait pas. Margot ne se privait pas d'insulter son esclave, de le gifler à tour de bras comme elle aurait cravaché sa monture, de tirer sur la chaine de douleur des tétons mordus pour freiner l'étalon. Toni bandait dur, Toni bandait ferme, Toni bandait constamment, pour que Margot tout à son aise puisse le baiser implacablement. Car il n'y avait aucun doute, c'était sans conteste : Margot baisait son mâle soumis, son esclave méprisable comme elle le marmonnait dans un galimatias à peine articulé.
    
    Pendant ce temps-là, Madame vidait son verre qu'elle semblait déguster par petites gorgées en se délectant du spectacle. Elle avait plongé sa main inoccupée derrière un pan de son peignoir et se cajolait un sein légèrement découvert par le tissu impertinent. Bertrand me branlait le cul et le con, je le laissais faire. C'était à la fois extraordinairement bon et terriblement dégradant. Mes deux orifices n'avaient jamais été masturbés simultanément d'une seule main comme le faisait cette fouine. Et Bertrand y parvenait avec succès, car je devais mordre le dos de ma main pour tenter de retenir mes criaillements de plaisir sans grand succès. Non seulement cette fouine fouillait mon fondement, mais il fouillait mes désirs de femme, me dégradant par des mots humiliants et me couvrant de fange, m'obligeant à reconnaître ma jouissance dans l'avilissement.
    
    J'étais... je ne sais plus où j'étais. Je ne sais plus ce que je fis, ce ...
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