1. Dégénérescence Régénérée Pt. 02


    Datte: 04/11/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: bymarco_solo, Source: Literotica

    ... doit bander quand je le sodomise, il doit bander quand je l'encule. Il doit bander dégradé, souillé, avili, humilié. Son cul est ville ouverte et jamais il ne lui est permis de débander, cela lui est interdit. Sinon il sera violé, tous les jours par une armée d'hétaïres en folie, puis fouetté par celles qu'il n'aura pas pu satisfaire, et ce sans fin, jusqu'à ce qu'elles aient toutes atteint l'orgasme. Il bande à nouveau. Ah, le pourceau! L'idée d'être perpétuellement violé par une bande de femmes affamées, avides de sexe, suffit à le faire bander. Avilissement et déchéance sont ses seuls mantras.
    
    Je m'enfonce plus profondément en lui. Mon sexe est inondé. Mes propres mots, mon nouveau sexe de latex, cette puissance qu'il me donne, m'ont euphorisé. Je suis en ébullition. J'active le vibreur directement en position médiane. Mon clitoris et mon vagin partent au quart de tour, je me mets à gémir et à miauler comme une vraie chatte en chaleur. Je halète. L'effet sur mon esclave est aussi spectaculaire. Ses reins s'agitent secoués par les vibrations de l'organe mécanique. Puis le pantin désarticulé se coordonne et oscille en harmonie, vers l'avant et vers l'arrière pour accentuer ma possession et prouver qu'il m'appartient sans discussion. Il reste plus de quinze bons centimètres de latex avant que mon bas-ventre touche ses fesses. Je me mets le vibreur en position maxi. Je ressens immédiatement l'effet. Je ne vais pas tarder à jouir. L'esclave gigote, il éructe, il échappe des ...
    ... cris de donzelle, il va avoir un orgasme de femelle en rut. Sans hésiter, je donne de puissants coups de reins et j'enfonce le restant de latex dans le cul servile. Un sentiment de puissance infinie m'envahit tandis que le mâle rend les armes dans un orgasme de chienne soumise. Ses cris de jouissance n'ont rien de masculin. Pourtant son foutre coule sur ma main qui étire encore sa bite. Je le branle, je le tord, je l'essore pour en extraire tout le jus. Il agonise quelques mots de jouissance épuisée, devant, derrière, partout son corps et son esprit jouissent d'être conquis et soumis. Un spasme me soulève, une bourrasque, une tornade, un ouragan m'emporte. Je jouis! Scotchée sur son dos, enfoncée dans son cul, la main pleine de son jus, je tremble comme une feuille dans la tempête. Je ne veux pas me décoller de lui.
    
    Cet esclave mâle dompté m'appartient. Encore.Plus que jamais. »
    
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    Je levai les yeux du smartphone. Je regardai Bertrand, un peu ébahie. Je ne savais quoi penser de ce délire. Il devait y avoir beaucoup de questions dans mon regard lorsque je levai les yeux.
    
    — C'est moi qui réécris ces textes. Qui les écris serait plus exact. Au départ, ce ne sont que borborygmes quasi incompréhensibles. C'est pour ça qu'elle m'a épousé, qu'elle me supporte, parce que je peux écrire ses fantasmes à partir de mots jetés aléatoirement, de grognements indistincts... je transforme en textes les délires et désirs qui naissent dans sa tête quand elle est bourrée complet ...