Rêverie ou réalité
Datte: 03/11/2023,
Catégories:
fh,
extracon,
copains,
vacances,
campagne,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: François Angler, Source: Revebebe
... allongé sur l’un des transats qu’il avait transporté le matin même. Il s’arrêta et observa de loin, dissimulé par un arbuste. C’était bien Christine qui était étendue. Elle ne portait qu’un tanga qui moulait ses fesses. Il admira les courbes de ce corps. Elle était allongée sur le ventre, sa peau était déjà bien bronzée, preuve qu’elle s’exposait régulièrement au soleil. Finalement, Frédéric s’avança et passa à côté d’elle sans un regard, presque indifférent.
Le matin, il avait débarrassé le poirier de toutes les petites branches de la cime, il ne restait que le tronc et trois branches maîtresses. L’une d’elles reposait sur la haie et la clôture de séparation avec le champ Drouin. Il alla d’abord couper les deux autres branches, petit bout par petit bout, pour diminuer le poids sur la haie. Il fallait qu’il soit prudent, l’arbre pouvait basculer sur lui à tout moment. Il allait devoir utiliser sa scie d’élagage au bout d’une perche. Le travail allait être laborieux. Il commença lentement à entailler le bois encore vert.
Christine, qui somnolait sur le transat, fut réveillée par les bruits du bois déposé dans la brouette à fond métallique. Elle se retourna et se redressa. Elle décida de s’enduire de crème solaire et en étala sur ses bras et sur son buste. Frédéric, qui venait de déposer une nouvelle bûche dans sa brouette, aperçut Christine se tartiner, il s’arrêta dans son travail pour la regarder faire. Celle-ci avait bien conscience d’être matée par cet homme, mais ...
... ne chercha nullement à dissimuler son corps.
Frédéric, qui transpirait suite à l’effort fourni, retira son tee-shirt en coton qui lui collait à la peau. Il s’approcha et posa le vêtement sur le second transat.
— Veux-tu que je te tartine le dos de crème ?
Elle lui tendit le flacon, il retira ses gants de cuir qu’il jeta à côté de son tee-shirt. Christine se releva et lui tourna le dos. Les mains de Fred se posèrent alors sur ses épaules. À ce simple contact, elle frissonna. C’était une folie d’avoir accepté ! Les mains massèrent doucement sa peau, étalant consciencieusement la crème sur ses épaules, puis ses omoplates. Les mains se rejoignirent sur sa colonne vertébrale, descendirent lentement jusqu’à sa chute de reins. Elles remontèrent le long de ses flancs jusqu’à ses seins qu’elles empoignèrent en douceur. Le bout des doigts effleura ses mamelons. Elle ferma les yeux. Elle s’abandonna.
— Veux-tu que je t’en mette également sur les jambes ?
Elle aurait pu le faire seule, mais ces mains sur sa peau lui feraient un bien fou, elle lui répondit par un oui à peine audible. Elle retint son souffle. Elle savait qu’elle jouait avec cet homme comme avec une grenade dégoupillée, et cela l’excitait. Il était accroupi à ses pieds et remit de la crème dans ses paumes. Ses mains se posèrent sur ses mollets, il les massa doucement, puis elles remontèrent lentement vers ses genoux. Elle ne dit rien. Elle savourait l’instant. Ces mains commencèrent à étaler la crème solaire ...