Retrouvailles bucoliques
Datte: 05/07/2019,
Catégories:
fh,
couple,
hotel,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
hdanus,
tutu,
totalsexe,
Auteur: Louve, Source: Revebebe
... éloigner, je veux encore les sentir durcir lorsque ton plaisir accourt comme un cheval au galop…
Ma bouche abandonne tes lèvres pour déposer sur ton torse et ton ventre de petits baisers qui n’ont qu’une finalité : descendre, descendre… Enfin j’ai ton sexe près de mon visage, quelques gouttes de plaisir suintent déjà, que je m’empresse de lécher avant de t’embrasser… doucement, de haut en bas, de bas en haut, je redécouvre ta verge avec ma bouche et ma langue. C’est si bon !
Je rejoins mes doigts qui te caressent toujours le bout du sexe. Ça y est, j’écarte légèrement mes lèvres et ton sexe énorme glisse dans ma bouche. Tu retiens un petit « ah » de plaisir, tu aimes me sentir te prendre en bouche, surtout que tu sais maintenant que j’y prends autant de plaisir que toi… Je t’aspire, te lèche, te goûte, te suce, t’embrasse, oh que tu es dur, c’est délicieux de te sentir aller et venir, je sens mon désir tremper désormais le haut de mes cuisses.
Tu gémis à mesure que j’accélère, et que mes doigts continuent leur exploration… Ils s’aventurent entre tes cuisses, se faufilent agilement jusqu’à tes fesses, et restent là, sans bouger. Tu te contractes légèrement, en un mélange de désir, de gêne et de peur. Je commence à bouger légèrement en massant l’entrée de ta petite grotte. Ton sexe est toujours dans ma bouche, tu sembles perdre tes moyens, j’ai envie de sourire et de te dire quelque chose, mais aucun son ne sort, la place est déjà prise.
Sans que je force vraiment, ...
... tu te détends et un doigt glisse à l’intérieur… Tu ne tiens plus, tu t’enlèves de ma bouche, me retourne d’un geste. Je suis sur le dos, tes mains sur mes poignets, ton visage près du mien, nous avons tous les deux le souffle court. Deviner ton sexe tendu à l’extrême près du mien finit de me rendre animale. Je me cambre pour essayer de t’atteindre, mais tu ne me laisses pas faire, tu me retournes une fois encore et ce sont désormais mes fesses qui te sont offertes…
Je n’essaie même pas de me débattre, j’ai trop envie de toi… Je sens ton sexe titiller l’entrée de mon sexe soumis, viens, s’il te plaît, viens en moi, glisse, VIENS. Tu sembles lire dans mes pensées car je te sens entrer, puis t’enfoncer en moi comme dans du beurre salé. Tu es très excité et tu fais des va-et-vient d’abord lents, puis je te sens t’enfoncer de plus en plus fort, et de plus en plus vite, oh oui encore, encore, ENCORE.
Je voudrais que ça ne s’arrête pas, mais le plaisir me surprend sans crier gare, mon ventre se soulève et un orgasme venu de loin me submerge. Gémir ne me suffit plus, il faut que je crie mon plaisir, que j’exprime le bien que tu me fais. La petite mort est foudroyante.
Je n’ai pas le temps de me remettre de mes émotions que ton sexe dégoulinant de miel oscille de mon coquillage à mes fesses. Je voudrais te dire non, attends, mais tu es déjà au creux de mes reins. Je ne peux plus parler, ma bouche ne fait que gémir, pousser de petits cris, je ne suis plus moi.
Tu gémis, toi ...