1. La couturière


    Datte: 02/11/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Davidson, Source: Hds

    Madame D. à l'orée de ses trente ans était au sommet de sa forme physique. Originaire d'une famille immigrés d'Espagne et ayant grandit en Afrique du Nord, madame D arrivée en France en 1962 avait été immédiatement placée par ses parents (un peu perdus dans cette société dont ils ne constituaient plus l'élite) dans un pensionnat tenu par des religieuses.
    
    Elle avait donc été éduquée en uniforme (relativement sobre) jusqu'au baccalauréat, et avait découvert la vraie vie avec la faculté de médecine et ses débordements estudiantins.
    
    De ces débordements elle avait gardé une forte impression d'un étudiant en droit qui présentait la particularité de pratiquer la boxe anglaise à un haut niveau, et un physique qu'il qualifiait "à la Gainsbourg".
    
    Sans doute par opposition à ses parents qui considéraient "qu'il n'avait pas une bonne situation et qu'il venait d'un milieu très modeste (il était fils d'un docker communiste et avait grandi en bidon ville),elle l'avait épousé dés qu'elle avait eu ses vingt-un ans (la majorité à l'époque).
    
    De ses années de faculté de médecine madame D avait gardé l'habitude de se vêtir de façon un peu provoquante: mini-jupe et décolletés audacieux, mais dès son arrivée à son cabinet de médecin (elle était gynécologue) elle recouvrait ses "vêtements civils" d'une blouse blanche.
    
    Monsieur D qui réussissait une très belle carrière de juriste terminait, parallèlement, une carrière assez terne de boxeur dans la catégorie des ...
    ... super-légers.
    
    Madame D éprouvait toujours le besoin de faire raccourcir ses robes et ses jupes, et de faire reprendre la coupe de ses chemisiers de façon à ce que ses seins (elle ne portait jamais de soutien gorge) qui n'étaient pas bien gros puissent paraitre comme agressifs avec leurs pointes se signalant sous le tissu. Pour se faire elle avait recours régulièrement à une couturière qui travaillait à son domicile dans la même rue.
    
    Cette dernière trouvait très agréable de travailler pour madame D, d'une part parce qu'elle achetait du prêt à porter de qualité (Chanel, Dior, Cacharel, Saint Laurent...) dont les tissus étaient agréables à travailler, et parce que d'autre part madame D était sa gynécologue et qu'elle se trouvait valorisée d'avoir un contact très direct avec son médecin.
    
    Par ailleurs le mari de la couturière (qui était ouvrier maçon) éprouvait de l'admiration pour le mari de madame D, parce qu'il était boxeur et qu'il avait parfois son nom sur des affiches, parce qu'il avait grandi dans un quartier très très populaire et qu'il était devenu un "monsieur", et que malgré cette ascension sociale il était resté copain avec Tani (un truand du coin) avec qui il avait grandit, et avait parfois ses combats subventionnés par "monsieur Paul" (un parrain local), ce qui n'était pas un secret dans la ville.
    
    Madame D se retrouvait donc régulièrement chez sa couturière, et pour les essayages se retrouvait relativement déshabillée à intervalles réguliers; uniquement avec ses bas et son ...
«1234»