Face à cam
Datte: 06/03/2018,
Catégories:
h,
ffh,
copains,
telnet,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
vidéox,
Masturbation
Oral
fgode,
fdanus,
entrecoup,
internet,
Auteur: Claude Pessac, Source: Revebebe
... admirer à loisir la courbe magnifique de son petit cul pommelé totalement révélé, pleine lune blanchâtre se découpant sur le cuir noir du fauteuil…
Toujours en suspension entre les accoudoirs, Lena continuait d’onduler lascivement, se pliant et se redressant alternativement, lançant à chaque fois son ventre un peu plus haut. Se cambrant au maximum, elle resta un moment immobile, les hanches tendues vers le ciel. La fine bande de poils sombres de son pubis, accrochant la lumière des spots, scintillait comme un bijou : la petite effrontée avait visiblement usé de la bombe à paillettes !
Arrivé à ce stade, je suis, vous vous en douteriez, monstrueusement impatient désormais d’en découvrir davantage ! Dieu sait pourtant que je connais chaque parcelle de son corps, chaque centimètre carré de sa peau, de ses seins, de son sexe. Et si j’étais auprès d’elle, il y a beau temps que j’aurais libéré ses seins, que mes lèvres gourmanderaient ses tétons érigés, que ma main se serait glissée entre ses cuisses pour fouiller les replis moites de son sexe épanoui. À moins, qu’entrant dans son jeu, je ne l’aie cueillie sur son fauteuil pour l’installer à quatre pattes sur le tapis, histoire d’entamer un rodéo effréné où, cow-boy déchaîné, me cramponnant d’une main à la ceinture dans son dos, je plongerais ma queue impatiente dans les méandres de sa chatte brûlante ou dans l’étroit passage de son petit cul serré. Mais à 2500 kilomètres d’elle, à poil sur mon lit, jambes écartées, une main ...
... pour caresser mes couilles, l’autre pour agiter ma flamberge impatiente, je dois me contenter du spectacle.
Complètement surexcité, je vais l’appeler, la supplier de se laisser aller à des extrémités plus convaincantes lorsqu’elle change prestement de position, virant d’un quart de tour pour me faire face enfin. Elle s’assied très dignement dans son fauteuil, cuisses serrées, buste droit, poitrine toujours barrée par la ceinture, les avant-bras à plat sur les accoudoirs. Madame trône, telle Cléopâtre en son palais, fière et hautaine, quasiment nue mais n’exposant rien, tous comptes faits, de ses appâts. Et c’est elle qui m’apostrophe :
— Je vois que mon spectacle ne te laisse pas indifférent. Cette queue impériale que je vois palpiter entre tes mains en est la preuve éclatante. Et pourtant, sache que tu n’as encore rien vu ! Je t’avais parlé d’une surprise, elle reste à venir. Mais dis-moi d’abord, trouves-tu vraiment acceptable de me laisser seule depuis des jours et des lunes, penses-tu que mon corps volcanique puisse se contenter de mes dix doigts, que mes lèvres gourmandes puissent jeûner quarante jours et quarante nuits ?
— Ma Chérie, nous en avons parlé souvent, nous sommes d’accord là-dessus ! Liberté pour l’un comme pour l’autre ! Et je t’ai redit, avant de partir, que tu avais carte blanche pour trouver toute "solution" à ta convenance afin de compenser mon absence… Et pareil pour moi, même si je me doutais bien, et je confirme, que mes chances de dénicher une ...