Emprise - Histoire de Leila Ch. 03
Datte: 25/10/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byAPVapv, Source: Literotica
... une prison pour les esclaves qui y demeuraient et un enfer pour les soumises traînées ici.
Des coups de fouet résonnaient. Secs et aigües, ils s'accompagnaient de cris inhumains. L'immense sous-sol en mode donjon se composait de différents espaces soigneusement séparés par des murs épais, chacun servant une fonction spécifique. Deux vastes salles s'étendaient majestueusement, chacune avec sa fonction particulière. L'une d'entre elles était aménagée pour accueillir des buffets lors de rassemblements, avec de longues tables en bois massif chargées de mets délicats et de breuvages envoûtants. Les murs étaient ornés de tapisseries somptueuses représentant toutes les positions du kamasutra, ajoutant une touche de grandeur à cet espace de convivialité. C'est dans cette salle qu'une blonde aux seins volumineux subissait les coups de fouet d'une autre esclave, à la couleur noire.
Enchassée dans le mur séparant les deux principales salles, la journaliste Larysa Pokirnyy d'origine ukrainienne vivait là en permanence depuis son enlèvement. Dom Pietro, le parrain de la pègre, conçut une vengeance inhumaine pour celle qui tenta de le faire tomber. Dans le vaste donjon principal, percée dans un des murs qui structurait l'espace, un trou d'une trentaine de centimètres de diamètre accueillait la taille de la journaliste blonde. En fait, on avait construit le mur autour du ventre de l'esclave ukrainienne la laissant en permanence dans une position inconfortablement debout et ...
... penchée à la fois : nue, perchée sur des talons aiguilles d'un côté du mur de béton et légèrement penchée de l'autre côté. Impossible pour la grande blonde autrefois plantureuse de s'échapper de cette torture.
N'importe qui pouvait la baiser du côté de ses fesses sans qu'elle ne puisse le voir. C'est Aïké, une autre esclave qui se chargeait de la nourrir, de la nettoyer à coup de jet d'eau et de la fouetter chaque jour.
Au fond du donjon, de modestes petites cellules étaient dissimulées, offrant un espace fermé pour les esclaves de la Confrérie. Les murs de pierre brute ajoutaient une touche d'authenticité à ces recoins intimes, tandis que des lueurs tamisées provenant de bougies à LED discrètement placées créaient une ambiance feutrée. C'est dans l'une de ces cellules que Leila, la jeune maghrébine, vivait à présent. Allongée à même le sol en ciment, elle dormait encore après son viol de la veille. Depuis que Maitre Jacques l'avait récupéré avec la complicité de Maëva, la beurette vivait un enfer.
Non loin de là, un espace dédié aux besoins sanitaires comprenait une salle de douche et des toilettes. Des carrelages sombres et luisants recouvraient le sol, donnant une impression de propreté et de modernité dans ce cadre médiéval. Mais il était réservé aux membres de la Confrérie. Les esclaves recevaient des jets d'eau programmés directement dans leur cellule et constituait leur seul aise hygiénique. Des trous dans les sols des cellules permettaient l'évacuation des ...