1. Une soirée pleine de surprises


    Datte: 25/10/2023, Catégories: ff, hplusag, frousses, Collègues / Travail caresses, intermast, init, lesbos, Auteur: Lesbo Lover, Source: Revebebe

    ... m’agripper aux draps frais. Laura enroule sa langue autour d’une pointe rugueuse inondant mon corps de vagues de désir qui me font gémir de plus belle d’autant qu’elle glisse dans le même temps une main entre mes cuisses les écartant doucement pour accéder à mon pubis.
    
    Instinctivement je me cambre telle une chatte qu’on caresse, tremblant tout le long de la remontée vers la source du plaisir.
    
    Car oui, je me sens dégouliner, trempant la dentelle si fine qu’elle paraît absente ne constituant en rien un obstacle pour Laura.
    
    — Ahhh.
    
    Je lâche un râle au premier contact que j’ai à peine le temps de digérer qu’elle écarte la culotte pour accéder à mes lèvres gonflées.
    
    Experte comme elle semble être la jolie rousse frôle ma vulve pour mieux débusquer mon clitoris qui n’attend que cela …
    
    À partir de cet instant je ne suis plus moi-même. Je suis une bête qui feule, se tord sur elle-même pour tenter d’échapper à ses deux doigts qui ondulent sur la crête tout en espérant qu’ils me m’abandonnent pas.
    
    — Vas-y. Lâche-toi !
    
    Conseil superflu tant je suis envoûtée par le démon du désir que Laura a réveillé en moi. Longtemps assoupi, bien avant ma séparation, je retrouve entre les mains d’une femme toutes les audaces de ma jeunesse.
    
    Cette fois c’est moi qui cherche sa bouche pour lui transmettre mon envie que mon sexe dégoulinant se charge de lui confirmer.
    
    Le souffle bientôt trop court pour me contenir plus longtemps, je lâche une dernière phrase avant de ...
    ... m’abandonner pour de bon :
    
    — Fais-moi jouir …
    
    Et je jouis. Longuement. Puissamment. Bruyamment.
    
    Les cuisses serrées, j’emprisonne sa main sur mon sexe pour que jamais mon orgasme ne cesse.
    
    Je sens mon vagin se contracter un nombre incalculable de fois, libérant des flots de cyprine qui vont fatalement inonder ses draps.
    
    Puis le calme revient dans la chambre au rythme de ma respiration qui peu à peu se ralentit.
    
    Laura est allongée à côté de moi. Je la sens plus que je la vois et à l’instant présent cela m’arrange, car je ne suis pas sûre de pouvoir affronter son regard.
    
    Trempée de sueur et de cyprine je dois lui offrir un drôle de spectacle dont je m’excuse bientôt :
    
    — Désolée…
    — De ?
    — Pour tes draps …
    
    Elle pouffe se collant à moi presque amoureusement pour me rassurer. Je frémis au contact de sa poitrine nue réalisant qu’elle a probablement profité de ma torpeur post-coïtale pour se débarrasser de sa robe.
    
    — Tu es si belle quand tu jouis …
    — Merci.
    
    Nos bouches se trouvent facilement pour une étreinte pleine de sensualité d’autant que nos seins se frottent dans un ballet terriblement troublant.
    
    Laura roule sur moi, mêle ses cuisses aux miennes et plaque sa vulve à la mienne. Un nouveau frisson m’envahît d’autant nos tétons se frôlent et que son bassin imprime peu à peu le rythme immuable de la copulation.
    
    Je caresse enfin son dos pour glisser vers ses jolies fesses sans rencontrer aucune entrave alors que je porte encore ma culotte ...