1. Lise en club libertin


    Datte: 25/10/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: RenaudetLise, Source: Hds

    ... d’ailleurs. Une des danseuses est en train de déboutonner la chemise de son cavalier qui en profite pour glisser sa main dans l’échancrure de sa robe. Pour l’autre couple c’est plus précis, le cavalier entraîne sa cavalière vers un tabouret de bar, elle s’installe, il lui ouvre ses cuisses et il se met à genoux pour la lécher.
    
    Nous ne pouvons pas nous éloigner de cette scène et restons comme des voyeurs. Deux autres couples s’approchent et commencent à caresser la dame. A côté de moi Lise est fascinée, elle me serre les doigts à me faire mal et me chuchote :« Si tu savais comme ça m’excite, je suis déjà toute mouillée ». Ca je m’en doutais, d’ailleurs je bande bien aussi, faut bien l’avouer.
    
    Jim invite Lise à danser, Béa me prend la main et m’entraîne également, je me colle à elle, ses tétons dressés et bien durs pointent contre mon torse. « Mmmm, en forme, on dirait. » me glisse-t-elle, collant son bassin contre la bosse de mon pantalon.
    
    Lise se fait masser les seins tout en dansant, les regards coquins qu’elle me lance sont éloquents. Je sens que ça va être une bonne soirée.
    
    D’autres couples sont éparpillés dans des niches discrètes, tout autour de la salle, c’est envoûtant.
    
    Jim prend Lise par la main et l’entraîne vers un couloir où ils disparaissent. Béa me retient et me rassure : « Laisse faire, tout va bien se passer, tu verras ». Elle glisse sa main le long de mon ventre et me caresse la verge tendue à travers mon pantalon, j’ai droit aussi à un baiser, ...
    ... sa langue fouille ma bouche, elle me rend dingue cette femme. J’aperçois deux, puis trois couples qui se lèvent pour emprunter le même couloir. Béa me regarde « Ils vont aller voir Lise, nous on reste encore un peu ici ». Je n’en reviens pas, je voudrais courir pour rejoindre Lise mais je n’ose pas.
    
    Béa m’entraîne sur une banquette, m’ouvre le pantalon pour libérer ma queue bien dressée. Elle commence par me caresser doucement, ses beaux yeux dans les miens. « Laisse les faire, ils vont s’occuper de ta Lise, nous irons regarder tout à l’heure ». Et sa bouche vient sur mon gland bien gonflé, elle est douce, sa langue agace, tournoie autour de ce gland tuméfié, je ferme les yeux et j’imagine Lise, avec tous ces gens autour d’elle. Des gouttes commencent à perler de ma queue, je le sens. Béa arrête de me sucer et me serre bien fort ma bite. « Non, non, tout à l’heure. Retiens-toi. J’ai prévu des choses pour toi ».
    
    Elle m’emmène vers le fond du couloir, je perçois des gémissements, des petits cris, je les reconnais, c’est Lise qui gémit !
    
    Nous arrivons dans une pièce ronde, la lumière est tamisée.
    
    Au centre une couche recouverte de cuir, ou simili, rouge, des sièges font le tour de la pièce mais tout le monde est debout, autour de Lise qui est allongée sur cette espèce de lit.
    
    Elle est pratiquement nue, elle a écarté les bras, les jambes et s’offre sans retenue à toutes ces mains en train de la caresser, de la peloter.
    
    « Viens t’asseoir et regarde comme ils vont ...
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