Le Projet Ch. 06
Datte: 25/10/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: bysmdream327, Source: Literotica
... sais pas.
-Pourquoi?
-Sans doute parce que pendant des années elle a dû s'occuper de tout à la maison et se priver de beaucoup de plaisir pendant que je travaillais à développer mon entreprise. Si elle ne m'y avait pas poussé, je n'aurais sans doute pas vendu. Mais elle avait besoin d'un nouvel équilibre où elle pouvait s'épanouir. Et bien entendu elle avait eu cette perception que ma nature profonde était d'être soumis et donc que je serais heureux de satisfaire ses volontés, aussi cruelles puissent-elles être.
-Et tu iras jusqu'où pour elle?
-Au bout de l'enfer. Je sais qu'elle ne me fera jamais souffrir physiquement de manière irréversible, elle n'est pas une sadique perverse. Si elle le juge vraiment nécessaire, comme lorsqu'elle m'a amené chez Marianne, elle préfère déléguer cette tâche à un autre. Mentalement elle peut être beaucoup plus cruelle et m'enfoncer, me dénigrer est un plaisir pour elle. D'autant plus qu'elle sait que l'humiliation, et la crainte, la honte qui l'accompagne, est un besoin fondamental dans mon acceptation de la soumission.
-Je crois que je te comprends un peu mieux. Continue ton nettoyage et prépare-moi un repas léger pour 14.00, tu me le serviras sur la terrasse.
J'ai repris mes occupations et puis j'ai fait un plateau de charcuterie et de fromage, ainsi qu'une salade de fruits. Peu après 14 heures Marie est descendue pour son repas. Maquillée légèrement, pieds nus, un jeans et un chemisier blanc largement ouvert sur sa ...
... magnifique poitrine laissée libre sous le tissu. Elle m'a fait mettre à genoux à ses côtés. Au fur et à mesure de son repas elle a laissé tomber des morceaux de nourriture sur le sol.
-Mange, tu n'auras rien d'autre.
Les fruits, elle les a écrasés avec son pied et me l'a donné à lécher. Ma langue s'est insinuée entre ses orteils pour ne rien laisser. Elle a frotté sa plante de pied sur mon visage. Marie a allumé une cigarette. Elle m'a dit d'ouvrir ma bouche et y a fait tomber ses cendres. Finalement Marie a laissé couler un long filet de salive sur ma langue et y a écrasé son mégot. C'était une douleur acceptable, c'était humiliant, j'étais bien. Je me sentais en sécurité auprès d'elle et je retrouvais un peu de chaleur humaine qui avait pratiquement disparu dans ma relation avec Alicia. Cette dernière ne me considérait plus que comme une chose, un objet, un esclave. Marie me méprise certainement mais je sens une dose de pitié. Elle comprend mon questionnement personnel. Je veux rester aux pieds d'Alicia, je veux qu'elle me fasse descendre encore plus bas, je veux pouvoir l'aimer au travers de ma servitude et de mon obéissance, quel qu'en soit le prix à payer. Mais pour y arriver j'ai parfois besoin d'un moment de paix et de chaleur. Même en me nourrissant de ses restes, en m'utilisant comme cendrier, c'est ce que Marie venait de m'offrir en me parlant et en acceptant de me comprendre.
-Tu as l'air heureux.
-Je le suis Madame.
-Tu as envie de revenir me ...