1. Les malheurs de Clotilde Ch. 13


    Datte: 22/10/2023, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byliviolheure, Source: Literotica

    ... plus en plus au fil du temps et de son agression.
    
    Emma :
    
    L'enfer s'abat sur elle. Le gland de son père vient d'éclater son sphincter en plusieurs morceaux. Il vient de lui casser réellement le cul. Comme pour sa mère, plus rien ne sera jamais plus comme avant, la pauvre gamine de dix-huit ans en gardera des séquelles atroces à vie. Emma ne s'en doute pas encore, si son père est le premier à violer son petit trou, des tas d'autres emprunteront la même voie plus tard, surement même dans la nuit.
    
    Mais pour l'instant on en est pas là, on en est juste au fait que seul le gland de son père vient de dépuceler son trou-du-cul si étroit et fragile. Il ne fait montre d'aucune pitié. Il force, entre son engin en entier dans le fourreau anal de sa fille. Puis il y va fort, l'enculant comme une vieille pute. Ne pensant qu'à son plaisir, aucunement à son enfant. Quand il jouit en elle, il ne se retire même pas. Il attend juste d'avoir fini d'éjaculer, avant d'entamer immédiatement un nouveau coït.
    
    Moi :
    
    Je hurle quand le sexe du dogue entre dans mon sexe, autant de douleur que de dégoût. Je suis morte, ils viennent de me tuer. Comment ces monstres peuvent-ils faire cela. Prendre du plaisir en me faisant violer par un chien? Rapidement j'ai du mal à penser. Le pénis du dogue est énorme, il me déchire en me pénétrant. Ses griffes labourent mes seins, en rajoutant à la douleur, à l'horreur. Puis quand le chien commence à me défoncer, je ne suis plus alors, qu'une boule de ...
    ... souffrance atroce.
    
    Le chien va vite, le chien va fort, le chien va sans pitié. Je suis sa femelle. Simplement sa femelle. Je mérite maintenant totalement le surnom que mes suborneurs m'ont donné : La chienne. Dix minutes. Pendant dix minutes je ne suis plus qu'une boule d'énergie douloureuse. Déchirée, griffée par un clebs. Je suis rabaissée en dessous de tout, en dessous du simple animal même. Je suis une pute à chien... Surtout que pour mon plus grand malheur, dans un avenir proche et plus lointain, des chiens, je vas en connaître intimement beaucoup.
    
    Ninon :
    
    Comme le sexe de son agresseur est de très belle taille, la fragile petite prof est obligée d'ouvrir grand la bouche afin que le bélier de chair puisse la pénétrer. Alors l'homme, lâchant son nez, crispe sa main dans la chevelure blonde et somptueuse, puis la tire en arrière. Renversant la jolie tête, nuque cassée. Lorsque il tord les cheveux qu'il tient en poignée, sa victime à l'impression douloureuse que son bourreau va lui arracher le cuir chevelu. Des flambées de souffrance irradient dans son crâne, dans ses mâchoires ouverte à l'extrême. Tout naturellement, elle ouvre plus grand sa bouche pour hurler. Tout aussi naturellement, l'homme en profite pour se pousser au fond de la cavité buccale. Son gros gland gorgé de sang bouscule la luette, pénètre l'arrière-gorge, étouffant la fellatrice, qui, en un réflexe automatique referme ses mâchoires.
    
    Cela alors qu'il s'apprête à se servir de la bouche de la fille ...
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