1. ARICA


    Datte: 22/10/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mib14, Source: Hds

    ... peut faire des choses quand on connaît les bonnes personnes. De jeunes hommes, et quelquefois de moins jeunes, cherchent du travail occasionnel, et se collent aux Européens ou aux locaux trapus. Des regards se croisent, des mouvements de têtes ou de langues, puis on monte dans le camion et on s’arrête derrière une maison blanche abandonnée. On repousse les caisses d’oranges pour se faire une place. Puis on se fait des baisers, des caresses, les queues sortent, on suce, on baise.
    
    Mon Péruvien me montre ses dents blanches et ouvre ses fesses avec ses mains. Il sait ce que je veux. Je lui lèche la rondelle et je tripote ses couilles. Il s’étend sur le matelas, sa queue longue et dure coincée entre le matelas et son ventre. Je mouille ma queue. Les deux Chiliens se lèvent pour me voir le pénétrer. Il est serré.
    
    « J’aime regarder une sodo entre un Blanc et un Indien », dit le plus vieux Chilien
    
    Mon amant se frotte sur le matelas et je le pénètre un centimètre à la fois. Finalement je me couche sur lui. J’adore sentir ses petits coussins sur mon ventre. Je suis allé aussi loin que je peux. Je retire mon engin un peu puis je l’enfonce de nouveau. L’Indien gémit de plaisir. Puis je sens la peau rugueuse et poilue du Chilien, le plus vieux, sur mon dos. Je m’y attendais même si on n’avait pas planifié. Il me glisse sa queue dure entre les fesses. Je l’enveloppe. Il me baise le cou. Son amant pisse dans le bac. J’ouvre la bouche quand il s’approche de moi agenouillé au-dessus ...
    ... du Péruvien. Je reçois sa pisse et je le suce pendant que son amant me pénètre en va-et-vient qui coïncide avec mon propre va-et-vient dans le cul du Péruvien. Quatre hommes. On ne le voit pas mais le Péruvien a joui sur le matelas, puis c’est moi qui lui tire un coup dans les profondeurs. Je sens la queue du Chilien qui se gonfle et se vide dans mon cul. Il ne reste plus qu’à recevoir la jouissance de l’autre Chilien dans ma bouche et j’avale. Comme un quatuor à cordes bien rodé, on termine l’un après l’autre pour la grande finale.
    
    Ce n’est pas la première fois que je baise à trois avec les Chiliens. Dès qu’on se voit, on bande. C’est comme ça. On remplit un bain et on s’y sauce l’un après l’autre. Je rejoins mon avion. Je vérifie le niveau d’essence. Presque vide. Je m’informe. L’essence n’arrivera que demain. Bon. Je n’ai que des sacs de lettres et quelques colis. Rien de qui va pourrir. Je suis habitué. C’est l’Amérique du Sud.
    
    Je fais une sieste dans le cockpit qui est à l’ombre. J’entends frapper. On m’invite à manger un morceau ce soir en ville. J’accepte avec plaisir. Je continue ma sieste.
    
    Vers 20h, un vieux camion s’arrête près de l’avion. On me fait des signes. Le siège avant est déjà rempli avec le conducteur et deux hommes. Je vais derrière. Une grande boîte en bois recouverte d’anneaux de fer et d’une toile. Ça sent l’huile de ricin. Il fait très noir. Je vois quelques paires d’yeux. Les peaux sont bronzées. Deux visages blancs, ceux de deux femmes que ...
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