1. Paris 2024


    Datte: 21/10/2023, Catégories: fh, jeunes, grossexe, grosseins, sport, amour, Humour rencontre, Auteur: Moctezuma, Source: Revebebe

    ... !
    
    Et Lola le prend par la main et l’entraîne vers la première entrée de parking souterrain qu’elle trouve.
    
    Après avoir mis un point final à son dernier article, Samir peut enfin se relâcher et profiter pleinement de la douceur des lèvres qui s’activent autour de son sexe sous le bureau. Il se sent honteux de vendre ainsi sa déontologie journalistique. Mais quand elle a sonné à la porte, avec son décolleté plongeant, ses cheveux bruns comme une cascade sur ses épaules délicates, les bras chargés de paquets de fusillis Barilla, il n’a pas pu résister. Cela lui coûtera peut-être sa carrière. Ou peut-être sera-t-il un héros de groupes complotistes qui verront en lui le lanceur d’alerte qu’ils attendaient comme le messie. Dans tous les cas, il sent qu’il ne résistera pas longtemps. « Tu peux jouir dans mia bocca si tu veux », il ne va pas s’en priver.
    
    Benoît et Lola ont fui ensemble dans un van, comme Ernest et Célestine partis dans un road trip improvisé. Ils sont soulagés de ne pas être seuls dans ce moment difficile. Benoît pleure à chaudes larmes cette nageuse italienne qui a su si délicatement conquérir son cœur. Lola envisage d’entrer dans un couvent, maintenant qu’elle a connu cette nuit d’ivresse, ...
    ... cet apogée, rien ne pourra avoir autant d’intensité dans sa vie. Mais elle a aussi croisé le regard d’un triple-sauteur paraguayen qu’elle a trouvé pas mal du tout. Faudra qu’elle se renseigne.
    
    Myriam se sent trompée, flouée, trahie. On lui avait promis du sexe torride avec des sportifs aux corps de rêve, elle n’a eu droit qu’à quelques coïts rapides, des ellipses malvenues, des positions pas folichonnes, aucun orgasme. Elle n’a même pas pu faire usage de ses gros seins ! Surtout qu’elle se serait bien tapé cette Italienne dont elle a goûté le parfum ambré sur le sexe de Valentino. Ce sera pour une autre fois… Pour le moment, elle pleure sur son sort, dans son voilier en partance vers les Bahamas, pour aller retrouver son oncle Guillaume. Elle se sent misérable, indigne de la France, des espoirs de promotion que le colonel Mercaillon avait placés en elle, de la longue lignée des Debailly, un échec ambulant. Mais c’est là une nécessaire leçon de vie. La jeune femme fait ainsi l’expérience des véritables valeurs de l’Olympisme, dont la devise cardinale, souvent ânonnée stupidement comme un mantra stérile, prend maintenant tout son sens : le plus important dans toute cette histoire, c’est d’y avoir participé. 
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