Professeures Bizutées - 3/8
Datte: 21/10/2023,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica
... affront, avait eu le temps de peaufiner sa vengeance. Il envoya un SMS à Amélie.
* Bizute Amélie, tu n'as pas montré ta chatte poilue dans le couloir!
* Tu n'es qu'une salope de bizute.
* Comme gage, je veux que ce soir, tu rentres chez toi, à poil sous ton manteau.
* Interdiction de t'habiller dans ta voiture pour faire la route.
* En plus, chez toi, tu te montreras comme ça à ton mari.
* Tu verras, ça le fera bander ce vieux vicieux.
Amélie lut le message alors qu'elle était déjà en train de se vêtir discrètement dans sa petite voiture. Elle se mordit les lèvres pour retenir des cris de rage. "Je ne vais certainement pas obéir à ce malade, pensa-t-elle. De toute façon, il n'en saura rien. Abruti! " Elle termina de se couvrir et mit le contact.
Au moment de quitter le parking, elle fut alertée par un nouveau SMS qu'elle ne le consulta pas. Au premier feu rouge, un second SMS s'annonça. Puis encore un troisième quelques minutes plus tard.
Arrivée devant sa maison, elle se décida à prendre connaissance des messages. Ils pouvaient provenir de son mari, bien qu'elle en doutait, mais elle ne pouvait pas les laisser sur son téléphone pour le cas où son mari les consulterait.
1er message :
Salope de bizute! Je t'ai vue de rhabiller!
Gare-toi tout de suite et fous-toi à poil.
2ième message :
Allume tout de suite la caméra de ton smartphone.
Appelle-moi pour me montrer si tu es à poil sous ton manteau.
3ième message :
Si tu n'obéis ...
... pas immédiatement, je balance des photos et des vidéos au lycée.
T'as 5 minutes pour te foutre à poil, allumer ta caméra et m'appeler.
Elle imaginait déjà la situation si des élèves recevaient les vidéos. Elle deviendrait la risée du lycée, probablement le souffre-douleur aussi. Le rectorat serait forcément informé. Pour les parents d'élèves, elle serait vouée à sa perte en tant qu'enseignante. Sans compter les problèmes financiers dus à la perte de son emploi. Elle n'avait pas le choix, elle devait obéir.
Son mari, sans doute revenu de son travail, ne semblait pas l'attendre derrière les rideaux du séjour. "Il doit être devant sa télé" pensa-t-elle. Après un coup d'œil aux alentours, elle retira son manteau pour pouvoir ôter les autres vêtements puis elle remit le manteau. Personne dans le quartier. Personne à ses fenêtres. Elle essaya de se calmer avant d'appeler Thomas.
- Allo? Thomas? C'est... c'est moi... Amélie.
- Ce n'est pas trop tôt. Alors bizute, t'es à poil? Tourne la caméra du téléphone vers toi que je contrôle... Bien... Ouvre ton manteau... Ouais... T'as vraiment des gros nichons, ma salope. C'est comment chez toi, fais voir avec la caméra. Tourne-la lentement autour de toi.
Elle lui montra un joli quartier de maisons individuelles, plutôt bourgeoises, aux jardins bien entretenus, en retrait de la route d'une dizaine de mètres.
- C'est laquelle ta maison, bizute?... Ouais, jolie. T'as pas de garage?
- C'est mon mari qui y met sa voiture, ...