1. La Belle au Bois Dormant


    Datte: 17/10/2023, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byAlexandre1965, Source: Literotica

    ... prouvant sa noblesse. Cette obligation évitait que des aventuriers et des usurpateurs profitent de la situation. La prophétie était claire, seul un noble ou un preux chevalier pourrait délivrer la belle, et non un simple roturier.
    
    Gontran fut introduit au sommet de la tour. On lui ouvrit la porte et le laissa seul. La belle était endormie depuis plus de trente ans, allongée sur un lit de princesse, large et confortable. Elle était vêtue d'une longue robe bleue aux liserés brodés d'or. Son visage était d'une grande beauté. Des traits fins, des lèvres sensuelles et une longue chevelure blonde, couvrait ses épaules. Son visage doux et si jeune semblait sourire. Elle devait être de taille moyenne et mince, mais son corsage à lacets laissaient deviner une belle poitrine.
    
    Gontran ne regretta pas son long voyage, car la belle était vraiment de toute beauté. Elle ne ressemblait pas à une morte. Elle paraissait dormir. Il lui toucha la main. Celle-ci était tiède et souple.
    
    Suivant le cérémonial, il approcha doucement ses lèvres de celles de la belle et déposa un chaste baiser. Ses lèvres étaient douces, délicieuses. Gontran eu un frisson. Mais la belle ne se réveilla pas.
    
    Gontran fut déçu, mais savait que d'autres plus méritants que lui avaient échoué aussi. Il n'était pas un preux chevalier et jouissait des plaisirs de la vie que lui offrait une vie confortable, et surtout des plaisirs de la chair, qui était souvent sa véritable obsession.
    
    Gontran allait quitter la ...
    ... chambre, quand, mu par ses pulsions, s'approcha à nouveau de la belle. Il l'embrassa, mais cette fois-ci, en dévorant ses lèvres, les moulliant avec sa langue. Gontran sentait son sexe durcir malgré lui. Instinctivement, il porta sa main sur la poitrine de la belle.
    
    Il se redressa, observa le corsage en lacets. Il hésitait.
    
    Gontran se parlait à lui-même : « Es ce sacrilège?... Elle n'est pas morte... Je ne risque rien. Je lui souhaite de rencontrer un jour son prince charmant. Ce n'est pas moi. Tant pis. En attendant, pourquoi ne pas en profiter. Je n'ai jamais rencontré fille si désirable! »
    
    Il cessa de s'interroger et mit à défaire patiemment les lacets du corsage de la jeune fille.
    
    Puis, il descendit lentement le corsage en l'étirant. Gontran ressemblait au découvreur d'un trésor. Il apparut alors deux seins exquis de taille moyenne aux pointes roses. La peau de la belle était d'une belle couleur, et d'une grande douceur. Gontran pelota les deux globes avec bonheur, puis plaqua sa bouche sur l'un d'entre eux, puis l'autre. Il léchait, embrassait, pinçait doucement les tétons.
    
    Il savait qu'il ne reculerait plus désormais et releva avec précaution la robe de la belle jusqu'au haut de ses cuisses, puis la chemise. À cette époque, les femmes ne portaient pas de dessous, mais simplement une chemise. Il découvrit alors, naturellement, une adorable chatte recouverte d'une discrète toison blonde. Il écarta ensuite les cuisses de la jeune fille.
    
    Gontran bandait avec ...
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