1. Florence de Femme Mariée à Callgirl 03


    Datte: 15/10/2023, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byEMILIEDAN, Source: Literotica

    ... petit cul est chaud comme la braise. Mais il serre comme un étau.
    
    Maintenant je vais vraiment t'enculer afin que tu jouisses comme jamais »
    
    D'un ample mouvement de rein, il déculait lentement pour mieux réinvestir la place. À chaque coup de reins, mon anus s'ouvrait et s'assouplissait, il électrisait tout mon corps qui tremblait.
    
    Je sentais clairement sous l'effet de ses poussées les lèvres de mon sexe s'ouvrir et se refermer à chaque aller-retour.
    
    Au bout d'une vingtaine de va-et-vient, Max déculait au son d'un petit « plop » qui laissait mon anus totalement dilaté.
    
    J'avais à peine le temps de l'entendre me dire
    
    « C'est bien petite tu t'ouvres bien »
    
    qu'il replongeait son gland qui ruisselait au plus profond de moi facilitant de plus en plus la tâche de mon enculeur.
    
    Il me tirait comme une poupée afin de me remettre à quatre pattes afin de me pénétrer encore plus profondément. Il était maintenant déchainé et me claquait les fesses et criait
    
    « Allez bouges-moi ce cul, empale-toi sur ma queue »
    
    J'étais maintenant comme anesthésiée, mécaniquement je poussais sur mes bras et projetais mes fesses en arrière afin de me sodomiser sur cette énorme queue.
    
    Mon anus comme ma chatte ruisselait et j'étais agitée de convulsions.
    
    J'avais en face de moi la vision incroyable d'Igor et de Tao qui se masturbaient frénétiquement ...
    ... devant mon visage.
    
    Je les voyais dans l'instant éjaculer et projeter à trois ou quatre reprises leurs spermes qui venaient tapisser mon visage.
    
    Au moment où ils s'effondraient définitivement épuisés sur le lit, j'entrevoyais le lever du jour.
    
    Dans un cri guttural Max à son tour tapissait mon cul de plusieurs éjaculations.
    
    Dans un dernier « poc » il sortait de mon anus qui se libérait lentement du trop plein de liqueur.
    
    Je me levais, Max avait disparu.
    
    Je me dirigeais lentement vers la piscine, laissant derrière moi cet immense lit, ou ces deux hommes qui se croyaient si puissants venaient de s'assoupir.
    
    Je plongeais dans l'eau bleue et chaude.
    
    Au rythme de mes brasses, je pensais au chemin de cette petite femme de province que j'étais et qui disparaissait à présent dans la brume matinale du petit jour.
    
    Mon esprit vagabondait. Il était habité tour à tour par la colère contre Michel mon mari et par ma nouvelle vie, qui éveillait mon corps et me dévoilait une addiction naissante aux plaisirs sexuelles.
    
    Le jour était à présent levé, Igor et Tao avaient disparus.
    
    Je sortais de la piscine, en haut des marches Marc était là. Il me couvrait d'une épaisse sortie-de-bain.
    
    Je regagnais ma chambre et me blottissais sous les draps chaud.
    
    Marc venait de refermer la porte.
    
    L'avenir me réservait bien d'autres surprises. 
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