Une Passion Inattendue Ch. 07-08
Datte: 15/10/2023,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... d'énergie et une constance, une intégrité, sinon la personne soumise est perdue, voire se délite. Il se trouve que je suis d'une constance totale et que je n'ai pas de souci à m'astreindre des rites et rituels. Pour ma gymnastique, il faut vraiment des circonstances particulières pour que je ne la fasse pas. Et pour notre vie de couple, pas une seule fois je n'ai baissé la garde, laissé François décidé de quoi que ce soit, ou m'être contenté du minimum. Même Alice que j'admire est plus fluctuante et souvent moins claire dans ses choix et ses envies.
Et là je comprends qu'avec ce présent, cette dimension qui m'échappait un peu du dressage et de la punition, vient s'inviter dans notre relation. Oui François me surprend ce soir, il emmène notre relation bien plus loin comme je le souhaitais. Et le fait que cela vienne de lui, me libère de toute réticence, ou culpabilité. J'accepte le cadeau et je lui demande de se mettre nu, je veux l'essayer tout de suite. Je cingle l'air avec un bruit effrayant et magnifique, je sens qu'il se crispe un peu. Mon garçon il fallait y penser avant. Le champ des possibles m'assaille : debout, couché, à 4 pattes? Sur le dos? les fesses? le torse? Je n'ai jamais frappé un homme (ni une femme d'ailleurs). Finalement debout c'est pas mal pour le dos, mais moins bien pour les fesses. Mais c'est mon choix.
Je tapote doucement pour trouver le geste, et l'endroit où je veux le fouetter. Je le touche pour créer un contact, il se détend. Je comprends ...
... le fonctionnement de la mèche et me méfie de son retour sur son visage. Je passe bien 15 minutes à le fouetter doucement, sans aucune douleur, juste pour voir comment cela se manie, ce qui se passe. En fait les fesses c'est pas mal debout, il faut juste que je m'éloigne. Je donne des coups plus fort, il sursaute. Pourtant ce n'est pas très fort. Enfin je me sens prête. Le sifflement précède le coup, et le hurlement de François. Il s'effondre par terre, le dos barré d'une trace rouge violette magnifique. Il me regarde effaré de la violence de mon coup. Qu'est-ce qu'il croit? Il se relève terrorisé cette fois-ci et il a raison. Hors de question que je le ménage. C'est une punition, pas une partie de plaisir.
J'essaie d'espacer les coups de façon régulière, avant de les croiser. Je peux compter les 20 coups qu'il a reçu sur le dos, je suis fière de mon œuvre. Il titube, se jette à mes pieds entre chaque coup non pour me demander d'arrêter mais pour me supplier de le garder à mes pieds, qu'il m'aime plus que ce n'est pas possible, qu'il a terriblement envie de moi, que c'est terrible d'être ainsi castré, que je suis la plus magnifique des femmes. Avant de se remettre pour le prochain coup. C'est absolument jouissif, j'adore cette sensation dans le poignet, ce pouvoir sur lui, cette souffrance infligée, ces marques dont certaines saignent un peu. J'ignore à ce moment-là que je frappe bien plus fort que ce qui est attendu. Son regard est brillant, il réclame encore plus de coups ...