Et coulait une rivière, première histoire, avec Anne-Jeanne.
Datte: 14/10/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: EK43, Source: Hds
Et coulait une rivière, première histoire, avec Anne-Jeanne.
En ce mois de juin caniculaire, un couple était au bord de l'Allier, nu. Sur la rive de galets, à plus d'un km de la route, ils étaient tranquilles, à l'aise. L'homme était allongé sur le dos, les pieds en direction du rivage, la femme était en équerre par rapport à lui, tête posée sur le bas-ventre de son partenaire. Un promeneur s'approchant très près, aurait pu remarquer, que la femme n'était pas totalement nue. Un lourd collier de cuir lui enserrait la nuque. Anne-Jeanne, 62 ans, était la soumise, l'esclave sexuelle d'Erik 57 ans. Tous deux se voyaient rarement, mais à chaque fois, c'était un déchaînement sexuel. Ce matin, au réveil, comme à son habitude, elle avait sucé son homme et en retour, celui-ci, avait mis sa main bien au chaud dans sa chatte humide... Il l'avait fait longtemps, commandant à de nombreuses reprises, la jouissance de sa femelle.
Quelques heures plus tard, ils étaient partis pique-niquer au bord de l'eau, au frais sous les saules et les ifs. Sans le dire, Anne-Jeanne, était frustrée. Il était environ 14 heures, et son maître ne l'avait ni baisée, ni enculée. Elle guettait avec impatience le réveil du membre viril adoré.
La main droite de son maître , se mit à caresser doucement sa nuque, passant sous la pointe de ses cheveux blonds. L’homme caressait, son collier, ses épaules…« Ma chienne, si tu t’occupais un peu de ton « nonosse » », entendit-elle. Enfin l’ordre attendu. La ...
... chienne, c’était-elle, Anne-Jeanne , et le « nonosse » en question, elle le guettait depuis une bonne heure. Quand, elle était avec son maître, Anne-Jeanne, ne tolérait pas qu’une autre salope s’approche de l’anatomie virile de celui-ci. Lui, pouvait offrir, ses trous chauds et humides, à autant de mâles qu’il voulait, c’était normal, son corps, quand elle était avec lui, ne lui appartenait plus. D’ailleurs, sur ses fesses, il y avait encore des traces de marqueur. Hier, soir, il y avait inscrit, « Propriété d’Erik ». A chaque fois, qu’il l’offrait, elle en redemandait. L’idéal, trois pénis en même temps, devant son maître. Un par trou !
Elle avait commencé par masser les couilles, des couilles bien lourdes. Pour mieux se positionner, elle tira sur sa laisse,et son maître ouvrit les cuisses, relevant ses genoux. Elle s’installa, agenouillée docilement. La laisse tira brusquement son visage, vers l’entrecuisse poilu. La main revint, et un nouvel ordre « lèche ! ».Et elle lécha, les couilles d’abord longuement, très très longuement, elle tenta même de les gober. Voyant le « nonosse » se réveiller lentement, c’est vers lui qu’elle commença à tourner son attention. Elle le voulait bien dur, jusqu’au fond de sa gorge.
Ce qu’elle ne pouvait voir, toute occupée à sa tache, c’est qu’un pêcheur d’une soixantaine d’années, s’était installé sur la rive d’en face. La casquette, les gaules, les canettes de bière, il avait tout l’attirail, mais son attention semblait quelque peu ...