Le Co-Voiturage Ch. 03
Datte: 13/10/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byomrouge, Source: Literotica
... repas se passa comme ça, elle replongeait périodiquement son pied dans le saladier et me le tendait comme un trophée. J'étais barbouillé, mais je récupérais les pâtes entre ses orteils, léchant la sauce qui s'écoulait tout au long de la plante du pied avec une sorte de ferveur maladive.
Finalement, elle cessa son manège et se relevant, m'observa.
« Va te laver, tu es plein de sauce »
Je passais me débarbouiller à la salle de bain et revins dans le salon.
Elle tenait sa chaussette à la main, l'observant comme si c'était un animal étrange. Elle le porta à son nez et eu un geste de recul en fronçant le nez.
« Ça pue, ça devrait te plaire, ouvre la bouche »
Elle me colla sa chaussette dans la bouche. C'était salé et l'odeur forte me montait dans le nez.
Plus que le goût ou l'odeur, c'était l'idée d'avoir sa chaussette sale dans la bouche qui me choquait, et, inexplicablement, me faisait bander.
Ça faisait longtemps que je n'avais pas sentis cet inconfort dans la verge.
Elle me passa le collier autour du cou, et la laisse et me reconduisit dans la cage du jardin.
Je rentrais dans la cage, mais, me souvenant de la nuit précédente, j'eus une requête.
« Madame, je peux avoir une couverture? »
« Un chien n'a pas de couverture »
« Oui, mais lui a des poils »
« Tu n'avais qu'à pas tenter de fuir, et je te préviens que tu n'es pas près de jouir à nouveau »
Je me remémorais l'image de ce type qui n'avait pas jouis pendant longtemps et eut un ...
... frisson.
Elle attacha ma laisse à la cage et quitta le jardin. Cela ne changeait pas grand-chose. Le collier qui me serrait la gorge me gênait plus que la laisse.
La nuit se passa comme la nuit précédente si ce n'est que je m'endormis plus vite.
Le jour était levé depuis longtemps quand on sonna à la grille d'entrée.
Madame Leroy ouvrit à une femme que je ne connaissais pas. C'était une grande brune. Elle ne vit pas ma cage et rentra avec Madame Leroy dans la maison. Il s'écoula plusieurs heures avant qu'elles ne ressortent et que Madame Leroy la reconduise à la porte en lui faisant la bise.
Le soleil, haut dans le ciel, donnait droit sur moi et j'avais chaud. Ma sueur attirait quelques insectes qui me picoraient. Je les chassais comme je pouvais.
Le plus difficile, c'est que j'avais envie de pisser. Plusieurs fois, je crus que j'allais me pisser dessus, mais je réussis à me retenir
Elle finit par venir me libérer et, saisissant ma laisse, me ramena vers la maison. Sa lenteur m'exaspérait et je n'avais qu'une envie, aller me soulager.
Elle s'arrêta, et se tourna vers moi.
« Tu as l'air embêté »
« J'ai envie de pisser Madame »
Elle eut un sourire.
« Tu sais comment les chiens pissent, en levant la patte contre un arbre. Mets-toi à quatre pattes en viens »
Elle me conduisit près d'un arbre et s'arrêta.
« Vas-y, lève la patte et pisse »
Humilié au-delà du possible, je levais la jambe contre l'arbre. Pendant un moment, il ne se passa ...