Kary 25
Datte: 13/10/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: bybenoit30, Source: Literotica
... cœur pour me montrer l'autre face. En fait, c'était un cadenas. Et avec les manœuvres suivantes, j'ai compris que le bijou en question était un collier. Elle m'a donc passé le collier autour du cou. Il était assez juste. C'était un collier rigide en stainless steel terminé de chaque côté par un anneau. Bien entendu, c'était pour recevoir le cadenas de Madame. Le collier a une forme un peu bizarre, il épouse un peu la forme de mes épaules, le cadenas qui le ferme se trouve vis-à-vis de ma clavicule gauche, et au centre du collier à l'avant, il y a un anneau ainsi qu'un deuxième derrière au centre du dos.
— Voilà petite chienne, tu as ton collier permanent à présent.
— Merci Madame.
— Maintenant il n'y a plus d'erreur, tu m'appartiens.
Elle avait bien dit collier permanent. Soudain, j'ai eu une pensée pour mon travail et ma famille. Un autre terrible frisson m'a envahie. Les personnes présentes se sont mises à applaudir. J'ai dû embrasser les pieds de toutes les personnes présentes, puis Madame a sorti une laisse de sa sacoche et l'a fixée à mon collier. Elle a à peine déposé l'imper sur mes épaules et elle m'a tirée hors de l'arrière-boutique, j'ai traversé le magasin avec l'imper ouvert, montrant aux clients une partie de mes seins et ma vulve glabre. C'est rouge de honte que je suis sortie sur le trottoir faisant face aux multiples passants. J'avais froid et j'avais hâte de regagner la voiture. Je me suis assise côté passager, après que Madame ait retiré l'imper ...
... qui me couvrait à peine, et a bouclé ma ceinture parce j'avais toujours les mains liées dans le dos, et nous sommes retournés à la résidence de Madame.
Chez Madame, c'est à quatre pattes que j'ai fait le trajet entre le garage et le salon. Madame m'a fait placer à genoux au centre, et j'ai attendu patiemment qu'elle revienne. Elle s'est assise dans le fauteuil devant moi tout en prenant son temps pour déguster une boisson alcoolisée. Elle me regardait avec un air étrange, un air de satisfaction, de victoire. Elle savourait le moment comme un accomplissement.
— À partir d'aujourd'hui Kary, tu peux dire adieu à Karine, elle n'existe plus. Dorénavant, tu es Kary 24 heures sur 24, tu m'appartiens et tu dois toujours m'obéir sans hésiter. T'aa bien compris.
— Oui Madame...
— Le collier que tu as reçu aujourd'hui fait désormais partie de toi, jamais il ne te sera autorisé de l'enlever... De toute façon, c'est moi qui garde la clé, et soit rassurée, il est très solide.
— Mais Madame...
J'ai à peine eu le temps de finir ma phrase qu'elle s'est levée et m'a giflée à trois reprises de façon très violente. Puis elle a saisi le bout de mes seins en les pinçant très fort, et fait un mouvement comme pour me soulever.
— Ne t'avise plus jamais de me contredire ou de discuter mes ordres parce que tu vas être punie très sévèrement petite salope.
Les larmes sont venues très rapidement à mes yeux. J'avais très mal. Madame serrait toujours et mettait une pression vers le ...