La punition d'Amira
Datte: 12/10/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: JohnnyGuitar, Source: Hds
... de la queue d’Amira et un plug vibrant dans son anus. Puis Henri alluma les appareils. La soumise lui jeta un regard suppliant :
« S’il-te-plaît Henri laisse-moi partir, j’ai déjà joui tellement de fois, je n’en peux plus je vais devenir folle ! S’il-te-plaît, je t’en prie ! Je suis désolée pour ce matin ! Je ferai tout ce que tu veux, je te sucerai comme jamais, je te lècherai le cul pendant des heures ! S’il-te-plaît, ne me laisse pas ! »
Néanmoins, pas attendri pour autant, Henri s’éloigna, laissant Amira trépigner sur sa table basse, entourée par quelques maîtres(ses) et soumis(es) qui se délectaient du spectacle en se masturbant / léchant / doigtant. Henri revint après une dizaine de minutes.
Amira gémissait, sa queue rouge et endolorie. Elle était couverte de plusieurs traces de sperme, probablement venant de membres du public qui ne s’étaient pas gênés pour jouir sur elle.
Henri désactiva les jouets vibrants, défit son pantalon et présenta sa queue à Amira.
« Voilà, petite pute. Maintenant, tu as gagné le droit de me sucer. Fais du bon travail et je te laisserai partir. J’espère que tu as bien compris maintenant ce qui arrive aux soumises impertinentes. ...
... »
Amira se mit au travail avec ardeur, comme si sa vie en dépendait. Son attitude toute entière s’était transformée par rapport au matin, trahissant une servilité et une docilité qui étaient rares chez elles. Elle avançait pour prendre Henri tout entier dans sa bouche, utilisant aussi sa langue pour le stimuler. Ravi de ces bons efforts, ce dernier – extrêmement excité depuis tout à l’heure – se laissa aller à son plaisir. Sentant l’orgasme arriver, il posa ses mains sur le visage d’Amira et se mit à lui baiser la bouche avant de jouir au fond de sa gorge. Il resta là quelques instants, admirant les cheveux défaits, les traînées de maquillage et de salive qui maculaient son visage, et le foutre qui décorait son corps.
Il détacha Amira qui s’effondra, les muscles endoloris. Henri la laissa reprendre ses esprits puis l’attrapa doucement, un bras sous le haut de son dos, un autre sous ses genoux. Il la déposa sur son lit et lui sourit. Avant qu’il ne quitte la pièce, Amira se redressa et lui murmura à l’oreille :
« Merci maître. Merci de m’avoir punie. J’ai tellement joui, Henri, j’adore quand tu me corriges. Tu sais que je suis à toi, je suis ta chienne. Je t’aime. »