L'arroseuse arrosée
Datte: 04/07/2019,
Catégories:
fh,
cocus,
inconnu,
grossexe,
fépilée,
jardin,
fdomine,
vengeance,
Masturbation
gifle,
Auteur: Martin, Source: Revebebe
... Éjacule juste sur mon cul, dit-elle.
Je serre doucement mes couilles avec ma main libre, tout en continuant à me masturber.
— Mais surtout pas une goutte sur ma robe ! ajoute-t-elle.
J’ai envie de lui répondre «Alors, enlève-la ! », mais cela me serait certainement reproché…
Après quelques minutes, je sens le bouillonnement dans mes testicules et je m’agenouille avec une jambe à côté d’elle sur le canapé, de sorte que ma queue est suspendue exactement au-dessus de son postérieur. Quelques secousses de plus et je pulvérise des gouttes épaisses de sperme sur la peau nue de ses fesses et dans sa raie, et je vois qu’elle me regarde satisfaite : je n’ai donc pas menti.
— Fais-tu vraiment tout pour me montrer ton amour pour moi ?
Question étrange alors que je tire les dernières gouttes de sperme de ma bite. Je hoche la tête, mais je sens mon excitation baisser aussi.
— Je ne t’entends pas, dit Adeline.
— Oui ! je réponds.
— Nettoie ta semence sur mon cul, dit-elle en me regardant sournoisement.
Je nettoie son derrière avec des mouchoirs en papier et sais maintenant que tout cela pourrait être le début d’une relation qui ne serait plus du tout basée sur la réciprocité. Pendant que je suis en train de lui nettoyer la raie, elle fait quelque chose qui exprime son affection pour moi : elle me caresse les cheveux et quand je termine le travail, elle se redresse et me caresse le visage.
Les jours suivants, je remarque que quelque chose de positif passe ...
... vraiment entre Adeline et moi. Nous avons même fait l’amour et ri ensemble, presque comme avant.
Comme je vais habituellement au bistrot un samedi sur deux avec mes amis, Adeline se met à parler un vendredi, veille de ma soirée-copains, pendant que nous regardons la télévision sur le canapé et prenons un verre.
— Martin, je trouve ça bien que tu ailles au bistrot avec tes amis, dit-elle, mais je veux pouvoir te faire confiance.
— Tu peux, ma chérie.
— Que se passerait-il si tu rencontrais à nouveau cette femme ?
— Absolument rien ! Je ne la reconnaîtrais probablement même pas !
— Oui, mais si tu la vois, je veux que tu me le dises, dit Adeline.
— Je le ferais. C’est promis.
Ce qui a changé aussi, c’est l’attitude d’Adeline. De temps en temps, elle semble errer, comme si une chose la tracassait et qu’elle ne l’admettait pas ou ne la comprenait pas, ou quelque chose du genre. Je décide de l’interroger, maintenant qu’elle m’a rendu un peu de confiance.
— Ma chérie, qu’est-ce qui ne va pas chez toi en ce moment ? Je te demande ça parce qu’il est évident que tu te fais du souci.
— Pourquoi tu dis ça ? demande-t-elle.
— Parfois, tu sembles absente, comme si tu avais un secret que tu ne veux pas partager, pas avec moi.
— Oh non, dit-elle d’un ton qui indique qu’il y a bien quelque chose, mais dont elle ne veut pas parler, alors je continue à la questionner.
— Est-ce que toi-même tu me trompes, ou quoi ?
Elle me regarde avec colère.
— Qu’est-ce que tu t’imagines ...