Belle des champs - Histoires de Sexe

Belle des champs

... sais, je suis une grosse salope, et je n’en ai pas honte ! Mon mari m’a laissée toute seule, car il est en mission pour deux semaines, et moi, il me faut ma dose au moins tous les jours !
— Wah ! Tous les jours ?

Remuant légèrement du popotin, elle minaude :

— Bah, éventuellement, je peux admettre un jour de pause entre deux baises, mais c’est pas évident !
— Et sachant ça, ton homme est quand même parti durant deux semaines ?

Elle marque une légère hésitation avant de répondre :

— Ben… il ne sait pas tout…
— Dois-je comprendre que tu le rends un peu cocu sur les bords ?
— Ben… y a de ça…

Coulissant toujours en elle, je me mets à rire !

— Hahaha ! Qui va à la chasse perd sa place ! Je viens même de trouver une variante : qui ne baise plus sa pouffiasse perd sa place !
— Pff, c’est malin ! Encore heureux que ton machin me fait du bien !

J’active un peu plus mes entrées-sorties :

— Hmmm, j’ai peut-être une solution à ton problème…
— Ah oui ? Et quoi donc ?

Sans cesser de la pistonner, je montre du doigt une bâtisse au lointain :

— Tu vois la grosse ferme qui est là-bas ?
— Oui, je la vois…
— Figure-toi que j’en suis le propriétaire.
— Ah oui ? Et alors ?

Visiblement, ça ne l’impressionne pas du tout, alors que je suis l’un des plus gros propriétaires du coin, même que c’est pour cette raison que certaines femmes veulent me mettre la main dessus, mais je ne suis pas né de la dernière pluie ! Je réagrippe ses hanches à deux mains :

— ...

... Eh bien, que dirais-tu de venir t’installer chez moi durant quelques jours et de servir carrément de vide-couilles à moi comme à mes ouvriers saisonniers qui sont terriblement en manque de femme ?
— De vide-couilles ?
— C’est bien ce que j’ai dit.

Je sens comme un intérêt dans le son de sa voix :

— Tes ouvriers, ils n’ont pas vu de femme depuis combien de temps ?
— Houlà ! Pour certains, je parie que ça se chiffre en mois…
— Et ils sont beaucoup ?
— Actuellement, ils sont quinze… mais parfois, ils sont plus nombreux…

Elle devient rêveuse :

— Ah oui… quinze…
— Je ne possède pas une petite exploitation…
— Tu ne serais pas aussi un gros exploiteur ?

Tout de suite, le gros cliché ! Je me défends :

— Tout n’est pas mécanisable, surtout quand il s’agit de fruits… Il faut du doigté et de la délicatesse… tiens, comme avec un clito, même topo !
— T’as de ces comparaisons ! Au fait, tu t’appelles comment ?
— Ah oui, excuse-moi, on a zappé les présentations. Moi, c’est Paul, tout simplement. Et toi ?

Elle tourne la tête vers moi :

— Bonjour Paul, et aussi bonjour Popol !
— Popol ?
— Ben oui : ton zob !

Je me contente de sourire, tout en continuant de la tringler joyeusement. Oui, j’adore être en elle, mais je commence à rencontrer quelques difficultés à me contenir. Après quelques va-et-vient entre ses reins, je réponds :

— Va pour Popol ! Alors, c’est quoi ton prénom ?
— Gwladys.
— Ah, c’est pas très courant comme prénom ! Mais ça te va bien ...