Soirée bourgeoise - Première partie
Datte: 06/10/2023,
Catégories:
grp,
fplusag,
extraoffre,
fête,
intermast,
Oral
échange,
libercoup,
Auteur: MauriceBernard, Source: Revebebe
Elle y pensait depuis longtemps et en rêvait aussi : une soirée « bourgeoise » dans un manoir, à la campagne, dans une ambiance qui rappellerait celle des nuits libertines du XVIIIe siècle. Parfois, cela l’amenait à assouvir ses désirs, au moyen de son jouet préféré, à défaut d’un complice disponible. Bref, tant pis pour ceux qui estimeront qu’un tel fantasme est tellement banal que cela ne vaut pas la peine d’en parler, mais pour Patricia, au début de ses soixante années si bien assimilées, c’est tout simplement une envie, qu’à l’occasion, elle souhaite pouvoir satisfaire, comme elle l’a fait souvent pour d’autres rêves au cours d’une ou deux décennies de libertinage bien remplies. Quand son compagnon d’aventures lui annonça qu’il était invité à participer à une telle soirée, dans un château, à la campagne, et qu’il lui proposait de l’y accompagner, elle crut à une plaisanterie.
— Mais non, je t’assure, c’est un de mes amis qui organise la rencontre entre « adultes consentants », sans chichi et sans vulgarité, évidemment.
— En bref, on va baiser dans tous les coins ! Bof, on en fait autant en club, non ?
— Pas tout à fait, paraît-il. D’abord, rien n’est imposé, chacun vit cela comme il l’entend et avec qui il veut. Ensuite, l’ambiance sera, au début au moins, détendue et amicale…
— … Et après ?
— C’est selon les goûts et les envies, et puis les lieux se prêtent à toutes sortes de solutions diverses et variées !
Patricia cesse de faire semblant d’être rétive et ...
... donne finalement son accord, trop excitée en réalité et impatiente de vivre cette nouvelle expérience en vue de laquelle les deux complices se donnent rendez-vous pour le soir prévu.
Compte tenu du contexte de la soirée, d’abord sage puis… imprévisible, la belle sexagénaire décide de choisir une robe qui moule légèrement son corps mince et découvre ses fines jambes à partir du genou. Rien de particulièrement provocant si ce n’est que, dessous, elle glisse ses douces cuisses dans des Dim-up fins et fumés, et ne porte qu’un string et un minuscule soutien-gorge dont ses seins menus pourront être sortis aisément, si l’occasion se présente. Un peu de parfum et un léger maquillage pour souligner ses yeux bleus rieurs, et la voilà prête à rejoindre son ami pour qu’il la conduise au fameux manoir.
Après un bref trajet en voiture et la traversée d’un beau parc privé, ils découvrent la bâtisse derrière de grandes grilles anciennes, qui donnent sur une cour pavée comme il se doit dans ces demeures-là. Dans la nuit tombante, de nombreuses torches éclairent la scène d’une lumière dorée qui magnifie le décor et les visiteurs. Toute à cette admiration, Patricia glisse ses jambes hors de la voiture et tend une main à son courtois chauffeur, pour qu’il la conduise vers le perron, pour pénétrer dans un grand salon XVIIIe amplement éclairé, dans le style de la cour. On vient élégamment leur proposer de déposer leurs affaires au vestiaire, avant de les conduire vers les salons déjà bruissant ...