Un Noël particulier
Datte: 05/10/2023,
Catégories:
hf,
ff,
fff,
BDSM / Fétichisme
hfeminise,
Transexuels
69,
fgode,
hgode,
conte,
merveilleu,
fantastiq,
Auteur: Miss Arthur, Source: Revebebe
... jouir. Je dus alors arrêter mes va-et-vient et restai sur lui avec le gode encore en lui.
Quand je repris mes esprits, je proposai aussi à Claude qu’il prenne avec le double dong ayant lui-même une extrémité dans son fondement. Il trouva l’idée très originale et m’en remercia. À propos du dong, il m’avoua penser que c’était lui qui l’avait acheté, mais il ne se souvenait pas pour quel usage il l’avait fait.
Nous n’étions plus ni homme ni femme, mais les deux à la fois et pour notre plus grand bonheur. Cela dit, nous ne comprenions strictement rien à ce qui nous arrivait.
Le portable de Claude sonna le matin suivant, un numéro affiché en clair mais qu’il ne connaissait pas.
— Allo, fit-il après avoir mis le haut-parleur.
—Bonjour, c’est le salon de coiffure Arwenna.
— Oui ? Bonjour.
—En faisant le ménage dans le salon, j’ai trouvé une boucle d’oreille et je me demandais si elle ne vous appartenait pas. J’ai eu votre numéro par l’application de réservation.
— Euh, oui, peut-être, attendez, je vérifie.
J’allai à la boîte à bijoux et constatai effectivement qu’une boucle manquait.
— Oui, cela doit être à nous, reprit-il.
—OK, passez quand vous voulez la récupérer.
Je ne comprenais pas comment cette boucle se retrouvait là-bas au salon de coiffure. Claude était certes allé dans ce salon hier, mais il ne portait pas ce genre de choses destinées aux femmes. Nous nagions en plein surréalisme, tout était incohérent, nos souvenirs flous, les sex toys ...
... non conventionnels… Nous partîmes Claude et moi vers le salon en début d’après-midi.
La coiffeuse était comme à son habitude derrière son comptoir. Il n’y avait pas d’autres clients.
— Ah bonjour, Monsieur et Madame, nous fit-elle. Je suis Arwenna.
— Ravi de vous revoir, répondit Claude.
— Vous êtes Claude et Frédérique, c’est cela ?
— Oui, répondis-je, intriguée.
— Voici la boucle trouvée dans le salon.
— Voici sa jumelle, répondis-je.
Je remarquai alors de très belles photos au mur du salon, des paysages de forêts, de fougères, de rochers et de lacs. J’avais le sentiment de les avoir déjà vues quelque part. Voyant que j’étais captivée par elles, Arwenna nous dit :
— Ce sont des photos de la forêt de Brocéliande, le berceau de ma famille.
— Très joli, j’aimerais bien que nous y allions un jour, dit Claude.
— Oui, ce serait une bonne idée, ajoutai-je. C’est bizarre, il en ressort une sorte de magie, c’est très fort…
J’étais troublée, Claude aussi, visiblement. Arwenna reprit la parole, d’une voix douce et ferme :
— Qu’est-ce qui vous ferait plaisir, Claude et Frédérique ?
J’eus un flash, celui de mon rêve où j’étais un homme : j’étais déjà venu dans ce salon.
— Je… Je… C’est vous ! dis-je. Vous… Vous… m’avez changé en femme !
— Et moi en homme ! dit Claude.
— Oui, j’ai ce pouvoir, dit Arwenna, étonnamment calme. Peu d’humains savent pourtant le percevoir. Auriez-vous tous deux du sang elfique ?
— Pardon ? fit Claude. Vous êtes en pleine ...